Innocente chair (libre)

Qu'as-tu à me regarder ainsi jolie chose ? Cesse de faire ces grands yeux de biche, ou il t'en coûtera de ta peau, et peut-être bien d'autre chose. Ces grands yeux noirs, ces battements de cils innocents, et cette croupe bien ferme qui se dresse quelques mètres devant moi dans le parc désert... Les bras étalés sur toute la longueur du dossier, je frissonne. Pas de froid, vue la chaleur qu'il fait, ni même de peur, puisque je suis la peur moi-même. Et puis, il faudrait être plus que bête pour craindre quoi que ce soit en plein jour. Non, ce n'est pas cela qui me fait frissonner. C'est plutôt un agréable fourmillement d'envie devant cette délicate créature qui m'observe de loin, n'osant pas faire un pas dans ma direction, ni dans aucune autre.

En vérité, cette jeune femelle n'hésite pas sur ce qu'elle a à faire. Ses sabots durs sont plaqués au sol et le tremblement de ses longues pattes m'indique qu'elle tente désespérément de faire un pas. Mais ça ne sert à rien, car tu es sous mon emprise ma beauté. Les fils invisibles de mon esprits se sont accrochés à ton corps si excitant sur lequel je me prends à fantasmer depuis plusieurs minutes déjà. Quel malheureux – enfin, tout dépend du point de vue – hasard que tu sois venue brouter l'herbe fraîche dans ce coin. Étant seule, c'est de toi que je fais ma prochaine victime. Oh je ne te tuerai pas, peut-être pas. Tout déprendra de la tendresse de ta chair, de la chaleur de ton antre et de ta docilité. Si tu ne pousses pas un cri étranglé quand je te prendrai violement, peut-être consentirai-je à laisser ta jolie langue rose dans ta gueule. Après tout, elle te va à merveille, de cette manière que tu as de l'enrouler autour d'une touffe d'herbage, ta manière de pencher la tête pour te nourrir, et ces petits regards inquiets que tu lances partout autour de toi. Mais depuis un moment tu ne regardes que moi, tes yeux sombres plongés dans les miens. Tu sais que le danger vient de moi. Tu sais que je ne te veux pas de bien. C'est mon bien que je veux, et celui de personne d'autre. Qu'on ne se demande pas pourquoi j'aime m'amuser avec des cadavres, ils ne se plaignent jamais, ne demandent pas à ce qu'on les fasse jouir. Un daim non plus ne me ferait jamais part de ses fantaisies.

Je relâche mon emprise sur toi un instant. Tu ne t'y attends pas, tes pattes avant se plient et ton corps bascule vers le sol. J'entrave à nouveau tes mouvements, te laissant dans une position plus que suggestive, le derrière bien relevé, penchée, n'attendant que moi, n'attendant que l'honneur que je m'apprête à te donner avec le plus grand des plaisirs. Une jambe appuyée sur l'autre avec nonchalance, je ramène mes mains devant moi, me penchant un peu, savourant la vue que tu m'offres. Que vais-je choisir ? Devant ou derrière ? Entrée ou sortie ? Douleur ou grande souffrance ? Je lèche mes lèvres, frissonne à nouveau, la partie inférieure de mon être prête à entrer en action. Du calme, savoure la vision, laisse venir le désir pour que la libération n'en soit que plus douce. Je crispe mes doigts sur le banc, j'attends, je mords ma lèvre. Je laisse s'écouler une minute, puis je me lève avec lenteur, une main sur les agrafes de mon pantalon de cuir noir. Je les agace du bout des doigts, ne voulant pas libérer l'arme du crime trop tôt, je veux la faire patienter, mais c'est moi qui ai du mal à tenir devant cette belle chose qui attend, les yeux exorbités par la terreur et l'écume aux lèvres.

-I eat innocent meat, je me prends à chantonner. The housewife I will beat. The prolife I will kill…

La chair innocente, délice. Dans un instant je plongerai ma virilité dans son antre chaude et accueillante. Si le cœur m'en dit, je plongerai aussi mes dents dans sa chair. Merveille des merveilles. Quoi de mieux pour commencer la journée que de violer la mère de Bambi. J'éclate de rire en défaisant lentement mon pantalon. Je m'apprête à le descendre quand j'entends un craquement derrière moi.

-What you don't do I will, je termine sur une note douce, mais agacée.

Je ne prends pas la peine de libérer l'animal, ni même de cacher mon état d'excitation avancée pour me retourner. L'animal attendra que l'on passe son chemin.

-N'avez-vous pas honte de déranger les honnêtes gens à leur besogne quotidienne ? je demande sur un ton se situant quelque part entre le mépris et l'agacement.

Je voyage tranquillement , volant au dessus des maisons aux toits de différentes couleurs, la chaleur s'engouffant dans mes longs cheveux d'un blond qui n'a d'égale que l'or, et mes ailes transparentes frappants l'air à grand coup, ne retenant riens sur leur passage. Ma peau pale est encore humide, et quelques gouttes de la rivière étaient restées sur mes avant bras. Un peu de calme m'aurais fait le plus grand bien, car ici, dans la ville lumière les gens font tellement de bruit qu'ils ne savent plus ce qu'est le silence, pas un petit silence non bien au contraire un silence profond sans jamais rien pour le briser.

Je passe au dessus d'une minuscule forêt aux couleurs de l'émeraude et à la senteur de la terre encore humide, sans doute est-elle ici pour donner un peu d'air a cette ville poluée, . Je vois des petites bêtes courir à l'abris afin d'éviter un prédateur assoiffé de sang, de chair encore chaude, la saveur d'un petit animal en détresse...
Mon instinct de louve me manque, cela faisait maintenant plusieurs jours que je n'avais pas chassé mais mon métier me prend beaucoup trop de temps.

Je vois au loin un petit sentier , ou je décide de m'arréter afin de faire le vide dans mon esprit égaré et de me retrouver. Mes ailes me permirent de descendre lentement sans un bruit autre que le vent qui s'engouffrait a l'intérieur de celles ci.
Mes pieds touchent doucement le sol, mon corps prend un malin plaisir a chanceler sous l'effet du vent et de la chaleur. J'avance calmement entre les branches vertes des buissons ...

Je m'arrète un instant et me repose sur une roche posée devant moi et qui m'insite à venir la rejoindre sans plus attendre. Ce que je fis dans la hate et me posa délicatement dessus. Le contact de la pierre froide sur ma peau nu me donne des frissons. Je ferme les yeux et je pars pour un long voyage a travers les songes les plus intimes...

Après quelques heures passées ici je me relève encore chancelante et commence à déambuler entre les arbres verts et silencieux. Je m'apprète a me transformer en louve, cela faisait tellement longtemps! L'odeur de chair chaude me manque terriblement. Mes mains commencent à devenir des pattes mes jambes rétrécissent, mes ailes se plient petit a petit, mon instinct se développe , ma vue et mon odorat se transforment... Me voila enfin redevenue animal , je cherche une piste de gibier pouvant faire l'affaire...

Rien à pars des souriceaux, rien qui ne soit digne de moi, puis tout d'un coup une piste! Une biche, chair encore chaude , elle venait juste de passée je m'apprette a la poursuive lorsque j'entends des murmures de voix...Je m'approche à petit pas guettant le moindre signe, un humain ?? Non l'odeur entrant en contact avec mes papilles n'est pas pareil , peut être un ange ?? Oui l'odeur des anges possède ses caractéristiques.

Mon corps change a nouveau, il s'élance , ma fourrure fait place à des poils courts et blonds, mes cheveux apparaissent à nouveau... Mes membres se font plus longs et blancs...Ma vue se transforme, j'ai l'impression de devenir aveugle mon odorat s'affaiblit...Mes ailes entres en contact avec ma peau...

Me voila redevenue cet être pur. J'avance à petit pas puis je marche sur une branche qui n'a d'autre choix que de craquer. L'homme se retourne et demande qui vient interrompre sa besogne quotidienne, sa voix est entre l'agacement et le mépris, pas de doute c'est bien un ange.
Je lui répond d'une voix a la foie douce et sournoise:

-La honte ne fait pas partit de moi.

J'attends sa réplique tranquillement restant dans l'ombre des branches...

(fais pas attention .. Raquel c'est un grand sadique, mais au fond il a bon cœur ¬¬… si on veut… et si on creuse loin…)

Tu n'as sans doute pas compris à quelle sorte d'être tu as affaire, ma mignonne créature. Tu te dresses là, devant moi, l'air de rien, l'air doux, l'air sage. Belle. Bien que tu te tiennes dans l'ombre, je n'ai aucun mal à distinguer le contour de tes ailes blanches dans lesquelles se reflète le ciel bleu d'azur. Mal m'en prenne, ce ne sont pas des reflets du soleil mais bien de ceux de tes plumes soyeuses. Je sais que ton regard, bien que je ne voie pas vraiment tes yeux, est posé sur moi, sur mes ailes dont il dessine les contours, explore les traits de ma figure. Mon long manteau de cuir ne claque plus dans le vent, car celui-ci s'est arrêté de souffler brusquement. Mère nature sait reconnaître la rencontre de deux êtres aux pouvoirs étendus, bien que je doute de la largesse de tes pouvoirs. Pourquoi ? Eh bien parce que tu te trouves ici, tout simplement, et que les anges importants se tiennent tous tassés dans leur chaise, à l'abri des éventuels combats. Non toi tu es un brin plus modeste – moins chiante plutôt – que les autres anges, bien que tu ne m'aies pas encore adressé la moindre parole. Si tu fais partie du peuple, tu reconnaitras mon regard, tu trembleras comme une feuille, tourneras les talons ou encore voudras me prendre en chasse. Toutefois, si tu n'es pas une habituée de la Cité d’Arraen’goll, tu resteras coite devant moi, me traiteras comme le plus banal des êtres ailés, et ce même si je m'apprêtais à faire l'amour – violer – cette innocente biche qui se tient accroupie derrière moi.

-La honte ne fait pas partit de moi.

-J'en suis bien aise, je glisse d'un ton doucereux, car elle ne fait pas partie de moi non plus.

Et sur ces mots, comme si la jeune femme n'existait pas ou n'avait aucune importance à mes yeux, je lui tourne le dos pour me mettre à tourner autour de ma tendre proie qui m'attend avec… impatience si je puis dire. Je détache une agrafe de mon vêtement, mon grand manteau ouvert sur ma poitrine nue. Je lance un regard vers l'arrière, vers la jeune femme blonde qui me semble sortie de l'ombre. Soit elle a avancé, soit je la distingue mieux de ce point de vue. Je ne regarde pas si elle est choquée, ni n'essaie de savoir si elle dira quelque chose. Non, pas le moins du monde. Je regarde un moment sa poitrine, et souris.

-Vous possédez une bien belle paire, je dis en détachant une autre agrafe, toujours dos à la jeune ange.

Je veux bien admettre qu'il y a plus courtois comme manière d'aborder une femme. Mais qui a dit que j'étais courtois ? Et qui encore a dit que je voulais l'aborder ? Je l'ai déjà fait un peu plus tôt en lui demandant si elle avait honte de m'interrompre. Et comme la honte ne fait pas partie d'elle, je ne me gênerai pas – je ne me serais pas gêné même si ça avait été le cas.

-Mais elle a beau être belle, elle ne battra jamais les belles mamelles de cette biche dans la fleur de l'âge, j'affirme en me baissant vers l'animal pour tâter ses seins lourds, un soupire de bien-être s'échappant de ma gorge.

Lourds ? Cette femelle a du donner naissance à Bambi il y a peu de temps. Je souris et caresse la tête de l'animal avec un semblant de tendresse.

-Pauvre belle, tu devras laisser dans le deuil un petit faon… à moins que je ne le trouve à son tour.

[euh … bon Raqui il part dans ses délires et t'oublie un peu … mais te gêne pas pour le ramener vers toi XD]

[oki pas de problème Xd, mais si je suis venue répondre à ton sujet c'est que je trouve ton style super ^^ bon arrêtons les compliments et au boulot ...]

Je ne baisse pas les yeux, pourquoi faire ? Tout simplement parce j'en ai pas l'habitude, savoir regarder de front et ne pas céder, c'est là ou repose toute force... C'est ange, je le dévisage de haut en bas, mes yeux font le contour de ses ailes repliées, remontant vers son visage pour enfin atteindre ses magnifique yeux, et toutes sortent de questions me frolent mon esprit agité, d'habitude si serein. Ces questions sont de plus en plus présentent, D'où vient-il? Qu'elle est sa classe ? Certainement pas un ange de haute classe, sinon il serait assis tranquillement et les repas défileraient sous son nez gourmand.

Lorsqu'il me dit que lui non plus la honte ne faisait pas partit de lui , je sus tout de suite qu'il avait quelque chose de fort au fond de lui au plus profond de son âme, mais je peux pas encore bien dire quoi! Peut être un jour le destin m'offrira la chance de le savoir. Quoi qu'il en soit je ferais tout pour le découvrir car moi aussi je possède une force intérieur qui me donne le courage d'aller la ou je veux.

Je vois ensuite ses yeux descendre vers mon thorax, bien sur je me doute où ceux si vont ce baisser, mais je ne fais aucun mouvement laissant les yeux de l'ange aller la ou ils veulent. Mes paroles atteignent mes lèvres avant que je ne puissent réfléchir au moyen de tourner mes mots.

-Vous savez donc voir les choses...

Je ne suis pas d'un grand naturel bavard, préférant laisser autour de moi le mystère et le silence. Je fais enfin quelque part en avant, laissant le soleil haut dans le ciel venir me caresser ma peau qui est pale comme la neige... Le vent s'engouffre dans mais cheveux tel un fou cherchant son bien...
Mes jambes me portent jusqu'a cet ange si mystérieux et a la fois si inquiétant.
Lorsque j'arrive enfin a sa hauteur mes jambes chancèlent pour que je puisse me retrouver accroupis près de l'animal appeuré au sang chaud coulant dans ses veines, mon envie de devenir loup et de pouvoir sentir ses veines sous mes crocs saillant me reprend...
Mes cette fois encore mes mots sortent tous seuls emportés par le vent

-Il faudrait retrouvé son faon, du moins il ne faudrait pas le laisser en vit, qui sais de quoi la forêt regorge.

Mes yeux viennent croiser les siens, ils sont si pur que je ne parvins a détacher mon regard, cet être me fais perdre mes moyens, moi qui d'habitude reste dans l'ombre, cette fois la lumière me frappe...

[contente que tu aimes le style ^^ je le prends seulement pour Raquel, tout nouveau juste pour mon bébé]

Tu tiens vraiment à rester près de moi pendant que je vaque à mes sordides occupations ? Va voir ailleurs si j'y suis jeunette. Je n'ai pas envie de partager mon plaisir avec qui que ce soit d'autre que cette biche, pas même avec toi, mignonne blondinette. Je t'observe à la dérobée, mais je pourrais y aller beaucoup plus franchement. Ce n'est pas de la gêne, pas du tout. Tu ne me gênes pas. Personne ne me gêne. Mais je me concentre sur autre chose. Mon érection croissante, que tu as bien vue mais que tu n'as pas relevée – elle est bien assez relevée comme ça déjà – s'étire douloureusement alors que j'hume le parfum de la peur qui se dégage de l'animal. Seule ombre à mon tableau, tu t'agenouilles à côté de moi, aussi attentive envers la biche que s'il s'agissait d'un coffre au trésor. Je rêve ou tu baves littéralement devant l'animal ? Oh, carnivore la demoiselle ? Bien soit, va te trouver un autre gibier. Ça, c'est ma proie, ma femelle, ma chair.

-Il faudrait retrouver son faon, du moins il ne faudrait pas le laisser en vit, qui sais de quoi la forêt regorge.

Oui, je sais. Je viens tout juste de… HEY !

-Minute Cendrillon, je dis d'un ton froid et dénué de toute expression. Cette biche est à moi, et tout ce qui a pu sortir de ses entrailles m'appartient aussi. Alors essuie la bave qui salit ton menton et tiens-toi loin de cette famille.

Normalement, quand je suis discourtois avec une femme, c'est parce qu'elle crie, qu'elle se débat trop ou qu'elle m'a fait mal. Quand je suis discourtois, normalement, c'est parce que je lorgne des rondeurs féminines avec un peu trop de franchise. Mais là, je les ai déjà matées ses rondeurs, et elles n'ont pas retenu mon attention. Alors pourquoi je me montre aussi désagréable. Ce n'est qu'un faon, il y en a partout à cette période de l'année. Si cette femme a envie de se… Oh voilà donc ce qui cloche chez elle. Je l'attrape par le bras avec force et l'oblige à se relever. Je la retiens contre moi – un peu trop contre vu mon état – et plante mon regard dans le sien. Je détourne mon attention de la biche et celle-ci se relève avec peine. Un dernier regard vers nous et elle décampe. Cette fois c'est sur la jeune femme que je concentre mon entrave. Mon esprit empêche ses membres de bouger, retenus par les fils de mon esprit de marionnettiste détraqué. Je coule mon regard vers ses ailes. Assurément pas celles d'un hybride, trop pures.

-Qui es-tu ? Réponds franchement ! Tu n'es pas un soldat, tu n'en as pas la trempe. Et si c'était le cas de toutes façons, tu ne perdrais pas ton temps à discuter, tu serais en train de tuer des vampires. Tu n'es pas un ange comme les autres. Pourquoi n'es-tu pas dans la cité à lécher les bottes de cette incapable d'Ashael ? Comme tous les autres ?

On se demande pourquoi je réagis de la sorte peut-être ? Certes ma voix ne montre aucune pointe d'énervement. Je suis aussi doué qu'Ashael pour la dissimulation des émotions, ou plutôt, je le surpasse puisque moi, je n'ai pas d'émotions. Je n'ai rien contre les anges. Seulement, les anges qui se disaient anarchistes que j'ai rencontré jusqu'à maintenant, je les ai tous tués. Je ne les aime pas.

[à un moment dans ton post, tu pourras dire que tu retrouves la force de bouger ton propre corps, ce sera parce que Raquel aura relâché son emprise, après tes premières paroles. Comment ça se passe quand il relâche ses proies, elles s'effondrent à moins d'être retenues debout, car elles retrouvent subitement le devoir de se tenir d'elles-mêmes]

[je n'ai pas tout a fait compris la fin de ce que tu m'as dis mais c'est pas grave Xd je vais essayer ]

Je continue à regarder ces lignes bien faite, cette chair en mouvement, ces muscles qui se tétanises sous l'effet de la peur, ce petit coeur d'où la nait la vie mais qui peut être aussi fragile que du verre...
Je ne peux plus rien faire, je voudrais gouter cette chair chaude ma langue frole mes dents blanches, mais soudain mon bras se retrouve sous l'emprise de cet ange, je ne crie pas pour quoi faire ? Mes yeux se glissent dans les siens, encore une fois je ne peut contourner le regard, les miens sont comme pétrifier, mes lèvres dessinent lentement un léger sourire, ce sourire est signe non pas de moquerie mais plutôt un sourire amical, cet ange dont je ne connais pas encore le nom me plais beaucoup ! Mais pourquoi ? Son physique ? non j'en ai vu des plus pur encore, peut être son caractère alors... Tout de fois il cache au fond de lui quelque chose de pur...
Mon regard glisse lentement de l'ange à l'animal qui vient de s'échaper de l'emprise de l'être aux ailes presque transparentes, elle cours pour que son coeur ne se brise pas , quelque chose vient frôler mon esprit, une pensée , peut être mal placer mais mes paroles sortent de ma bouche sans que je ne puissent les rattraper alors que mes yeux retournent la ou ils se sentent bien, dans son regard...

-Laisse moi rattraper cette chair pour toi

Pourquoi avoir sortit cela ? Je n'en sais rien, alors que son emprise me relache je retire lentement mon bras de ses mains encore chaudes, mais mes yeux ne quittent pas leur petit nid douillet...
Peut être refuserat-il ? Et alors ? de toute manière il pourrait la rattraper seul, mais avec moi cela lui donnera moins de temps.

Ses paroles me reviennent en tête, d'où je viens? Qui suis je ? Ai -je vraiment besoin de répondre a sa question? Du moins je n'ai pas le temps de réfléchir que je lui répond avec une part de mystère qu'il faudra découvrir par lui même...

-Mon nom est Eledwhen, et sache que je ne le porte pas vraiment dans mon coeur

Mon sourire revient de nouveau, bien sur Ashael est pour moi quelqu'un de bien trop haut placé seulement si jamais il a besoin de mes services , je ne me génerais pas pour lui rendre une petite visite afin que cela me soit profitable....

-Et toi qui es tu pour avoir autant besoin de chasser ? Peut être aime tu ça ou bien tout simplement tu n'a pas le choix! Mais d'après ce que tu viens de me dire toi non plus tu ne le porte pas ton coeur, sinon tu ne l'aurais pas insulter en ma présence!

Ma voix est naturellement douce, il n'y a aucune hausse dans mon ton, ni de mépris... Mais chez cet ange je remarque qu'il réussit à cacher ses émotions , sinon il ne serait pas aussi serein...

[ça va ^^ moi je te suis en tout cas XD l'é bâtard mon Raqui… ]

Je lève les yeux au ciel à tes paroles. Ne pas porter Ashael dans ton cœur, faut-il que tu sois sotte ! Ashael est la toute puissance, et il veille sur son peuple, quoi que l'on puisse en dire. Il vous protège tous autant que vous êtes. Moi je vis en dehors de sa protection et je n'y trouve pas de très grands avantages. Certes, il faudrait un miracle pour que quelqu'un réussisse à avoir ma peau, mais n'empêche que la protection du grand manitou pourrait être utile de temps en temps. Je reporte mon attention sur toi, buvant tes paroles pour mieux les absorber. J'éclate d'un grand rire guttural alors que tu me regardes avec de grands yeux de… biche ? Hmn…

-Je ne chasse pas, Cendrillon, je dis d'un ton froid. Je ne mange pas les animaux – sauf cuits - ni même les humains. Enfin, parfois je m'offre le plaisir de manger une femme mais passons, ton esprit arriéré de créature ailée ne saurait comprendre la subtilité de cet acte.

Je plonge mon regard dans le sien, donnant l'impression de pouvoir lire en elle. Certes il n'en est rien. Je n'ai pas ce don, et c'est une chance. Entendre les pensées des autres… J'ai bien assez des miennes qui ne cessent d'aller et venir – hmn – dans tous les sens.

-Toi tu bavais devant cette biche avec une lueur affamée devant cette biche, la même lueur qu'un loup a dans les yeux avant de manger. Moi, je voulais cette biche pour lui enfoncer ma verge, bien profond, et me vider les couilles dans son petit cul. *

Pour illustrer ce que je veux dire – les anges ne comprennent jamais rien à cela – je prends sa main et la pose d'autorité sur mon membre. Détrompez-vous, je n'ai nulle intention de me taper cette demoiselle. J'ai eu mon quota d'anges à baiser pour la semaine, et c'était d'un animal dont j'avais envie aujourd'hui. La vue de cette fille ne m'excite pas le moins du monde. Je tiens à rappeler que mon état est du au cul de la biche.

-Et pour ce qui est d'Ashael, je ne le porte pas dans mon cœur c'est vrai. Toutefois je déconseille à quiconque de suivre ma voie. Je suis l'anarchie ! Et personne d'autre ne peut se proclamer ouvertement anarchiste en ma présence. Ces gens ne s'attirent nullement mes sympathies, plutôt mon courroux. Ashael n'a rien fait à personne pour mériter qu'on médise sur lui. Moi, c'est tout autre chose, raison personnelle. Alors dis-moi jeune souillon, te proclames-tu paria à ta race ?

Dis-moi oui et tu y goûteras ma jolie.

*excuse la vulgarité de Raquel… Il sait pas s'y prendre avec les anges XD

[moi j'te conseille de répondre que non, et de lui expliquer que tu ne connais pas Ashael, que tu n'as pas grandi avec les anges… parce que Raquel il les tue de sang froid les anarchistes.]

[lol, non mais tant fait pas j'adore XD]

Je le regarde dans les yeux, les miens ne montrent plus aucune émotions, ils sont froids, glacés... Ces paroles me vont droit au coeur, mais sans pour cela me mettre hors de moi! Si pour lui je ne suis qu'une carnivore, qu'il le pense moi cela ne me dérange pas le moins du monde!
Je continue a la regarder, si il avait envie de baiser cette biche, qu'il le face! Apres tout j'en ai vu d'autre, et chacun possède sa personnalité...
Il me prend la main et la pose sur son sexe dréssé, bin qu'est ce que cela ai censer me faire, je le vois bien qu'il bave et qu'il n'a qu'une seul envie... Et bien qu'il l'assouvif son envie, et qu'il ne me prenne pas pour une souillon, chose que je ne suarais jamais! Dans ma vie il n'y a qu'une fois ou j'ai été cette infame de souillon, lorsque ma mère ma mise au monde point...
Apres cet Ashael je ne le connais pas, et les anges moi , je ne les connais pas non plus, il n'y aura qu'un dieu pour moi celui qui ma aider a m'en sortir, alors que lui au contraire de moi il avait envie de se battre pour vivre...

-écoute, je lui répond d'une vois posée et calme, moi Ashael je ne le connais pas, et je n'ai jamais vécus avec des anges, voila pourquoi je ère ici, sur cette Terre qui n'est que malheur... Mes parents sont mort a ma naissance tout ça à cause d'une guerre de clan, et tu vois ou ca ma amener ... Comme tu le pense une souillon, alors fais ce que tu as envie de faire, moi jamais je ne te contradirais, la vie est bien assez pourrite comme ca!


Je reprend mon souffle, et après avoir vider mon sac une larme se verse, mais je ne fait aucun mouvement pour l'essuyer je la laisser glisser le long de ma joue, elle est chaude et vient mourrir sur mes lèvres ....
Je continue a le regarder , ca biche si il le désire je lui en ramène des dizaines...

J'observe tes traits avec attention, découvrant même jusqu'au trouble que tu essaies de cacher. Je ne peux m'empêcher de sourire devant ton air incertain quand ta main se pose sur mon sexe tendu, je ne peux m'empêcher de savourer la mince souffrance que je suis capable de déceler chez toi. J'écoute ton histoire avec une attention bien réelle toutefois, je n'aime pas passer à côté des passages importants d'une histoire et ce même si tu ne vaux rien à mes yeux. Alors ainsi tu ne connais pas les tiens ? Je respire profondément, repoussant ta main, mais la gardant un moment dans la mienne.

-Très bien Cendrillon, je laisse filer. Je vois maintenant ce que tu voulais dire par sache que je ne le porte pas vraiment dans mon cœur.

Je fais silence, ne relève en aucun cas son commentaire sur le fait que je l'aie appelée souillon. Pour moi, cela n'était qu'une référence au surnom de Cendrillon que je lui avais donné dès que je l'avais aperçue. Pourquoi Cendrillon ? À cause de ses longs cheveux longs et bouclés, de son air quelque peu égaré tout en étant fort. Je saisis son menton entre mes doigts, relève sa tête pour qu'elle me regarde dans les yeux. Je remarque une larme sur sa joue, larme que je m'empresse d'essuyer avec mon pouce, non pas que je sois triste de la voir triste. Je m'en fiche éperdument en fait qu'elle pleure. Seulement les larmes banales me font m'ennuyer des larmes de sang, si rares et si belles, et je ne voudrais pas – enfin pas tout de suite – être tenté de lui crever les yeux.

-Je vais faire quelque chose pour toi. Cela impliquera qu'un jour tu devras me rendre service, quel qu'il soit. Mais pour l'instant je n'ai besoin de rien et j'ai bien suffisamment de pantins qui lèchent mes bottes. As-tu envie de rencontrer les tiens Cendrillon, ou veux-tu rester ici avec les humains ? Je peux faire en sorte que tu les rencontres ou au contraire, m'assurer qu'aucun d'eux ne t'approche, jamais. Dans les deux cas tu me devras quelque chose.

Je souris et me recule. J'aime laisser le choix aux gens, j'aime m'assurer que les deux choix soient contraires et j'aime à m'assurer que le service exigé en retour vaille doublement ce qu'il m'a coûté.

[si ton personnage dit oui, je nous emmènerai faire un rp à trois chez Ashael]