Ecstasy Jeune Prostitué
Nombre de messages : 50 Age : 34 Localisation : Sur le bord de la rue entrain de faire du tapping... Race : Humain Pouvoir(s) particulier(s) : Être beau, ça compte? Date d'inscription : 27/08/2008
| Sujet: Ecstasy [Humain] Mer 27 Aoû - 16:08 | |
| Identité
Prénom et Nom Hugo Guisset Surnoms Ecstasy, Cupidon Date de naissance 20 décembre 1989 Sexe M Âge 18
Physique
Description générale Mes cheveux sont d’un blond pur, ni trop pâle, ni trop sombre, la teinte parfaite. J’ai encore un visage d’enfant, des lèvres sensuelles et un regard qui ferait fondre n’importe qui. Parlons-en, de mes yeux. D’un bleu-vert unique, ils semblent vous transpercer et regarder le fond de votre âme. Souvent, il suffit d’un coup d’œil pour que je puisse convaincre quelqu’un de venir avec moi… Si ce n’est pas mon corps sans défaut qui l’attire. Par contre, sans maquillage, mon visage est une horreur. Les cernes, la peau pâle… L’abus de drogue se fait paraître dans ma figure. On voit clairement plusieurs marques de seringues sur mes bras. Je porte souvent des bottes à plate-forme, un attirail de vinyle noir, je ressemble à un mec sortit d’un club fétiche… Mais bon, c’est mon uniforme de travail, je ne peux pas y faire grand-chose. Sinon, de façon général j’ai adopté un style universel qu’on ne remarque pas, portant toujours des manches longues, pour qu’on ne voit pas les marques de piqûres sur ma peau… Taille 1 m 78 Corpulence Maigre… plus besoin de régimes lorsqu’on se pique. Signe particulier J’ai de petites ailes d’Ange tatouées sur mes omoplates. D’où mon surnom « l’Ange de l’Amour », ou Cupidon, si vous préférez. Peut importe, les deux sont de nature plutôt douteuse.
Caractère
Description générale Je crois que je peux dire que je n’ai jamais été pur et innocent. Dès mon enfance, j’étais trop curieux pour conserver ma naïveté… Je suis quelqu’un qui aime expérimenter, je suis quelqu’un qui aime bouger et qui aime évoluer. J’ai de la difficulté à rester longtemps au même endroit. J’aime les choses nouvelles mais par contre, je m’en lasse facilement. Je suis du genre à m’ennuyer généralement, du moment que toute la nouveauté est partie. Je déteste mon job, je déteste ma vie. Par contre, je n’arrive pas à m’en sortir. Avec le temps, je suis devenu ce que je déteste le plus au monde : banal. J’étais prisonnier de mon existence, enchaîné à ma dépendance. Puis, le désespoir se mêla dans l’engrenage… Je suis maintenant devenu plus cynique, sarcastique et méchant. Vulgaire et irritable, je n’hésite pas à faire mal aux autres pour qu’on me laisse de la place. J’ai le cœur froid, car je n’ai plus d’espoirs, je n’attends que ma mort à présent. Le pire, étant lucide de ma fin qui approche, je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur. Le tout mélange de ce cocktail fait de moi une personne extrêmement instable mentalement, à tendance bipolaires. Tic N/A
État
Statut social Prostitué Statut civil Célibataire… et je compte le rester!
Passé
Sa vie Ma vie, ma vie… Aujourd’hui, je trouve que tout est bien futile. Parce que la vie, c’est tout sauf merveilleux. Qu’est-ce que je peux dire sur ma vie? Que je suis le 20 décembre? Génial. Une date. C’est tellement merveilleux! Ça m’emmerde, les dates. Je vois pas comment les humains font pour accorder autant d’importance à un paquet de chiffres et de mots. Pfft. C’est si ridicule.
Et après? Qu’est-ce que j’ai à dire d’autre? Que je suis une sale pute? Ouais, c’est le cas. Ça vous dérange? Ben, allez vous faire voir! Des fois, je me demande comment j’ai fait pour en arriver là… Je crois que ça commencé y’a longtemps. J’ai toujours voulu essayer les nouveaux trucs, alors… Ça peut-être était un facteur. Il y aussi le fait que j’avais besoin de fric. Sans pognon, on ne va pas loin dans la vie. Sans argent, on crève comme un rat, affamé et esseulé. J’ai trop d’instinct de survie ; je veux pas mourir de faim. Alors, je me vends. Puisque c’est la seule dans laquelle je suis bon. Quand j’allais encore à l’école, j’ai jamais aimé l’école en passant, j’étais le « rebelle ». Le cancre. Celui que personne n’aime. Le tyran. Le bourreau. Oui, c’est moi qui demandait l’argent pour le dîner des autres élèves, c’est moi qui collait de la gomme à mâcher des les cheveux des fillettes, c’est moi qui récoltait des zéros. Mon comportement ne s’est jamais amélioré. J’étais un M-O-N-S-T-R-E. Perturbé, disant mes enseignants. Très perturbé. Et perturbant.
Chez moi, ça n’allait pas très bien. Mon père était un homme violent et ma mère bah… elle prenait des médicaments. Des belles petites pilules. De toutes sortes de couleurs. J’ai toujours été un enfant seul. Malgré que mon épave de mère et mon dépravé de père y étaient souvent, je me sentais toujours isolé. C’est tout comme si la maison était vide…
À cause de ce manque d’affection (et d’attention), mon comportement c’est rapidement modifié. Je suis devenu un enfant turbulent, qui demandait sa dose d’amour de façon négative.
J’ai grandis dans un manque total de tendresse et de sécurité, le tout arrosé des épisodes psychotiques du paternel et des tentatives de suicide de la mère. Cette délicieuse mixtion de ces événements mensuels m’obligea à me refermer sur moi-même. Et, pour éviter de souffrir, je devins un « dur à cuire ».
Alors que le poil du menton commençait à peine à pousser, j’ai découvert quelque chose qui changea à jamais ma vie. Un moyen de fuir. Fuir les problèmes, fuir la douleur, fuir ma famille, me fuir. Ce n’était qu’un peu de drogue… Cela ne pouvait pas faire de mal à personne, non?
Lorsque j’étais complètement parti, je ne voyais plus rien. Ne sentait plus rien. Je devenais hilare de ma souffrance, je me riais de ma tourmente. Je planais grâce aux substances et j’allais dans un monde parfait, un monde qui me plaisait. De plus, j’avais trouvé des amis. Qui souffraient autant que moi. Tous les trois, on se réunissait chez Alexis, et quelques minutes plus tard, nous n’étions plus là. Dans les vapes. Ailleurs. Ce fut les plus belles années de mon existence, les plus merveilleux moments de ma mémoire. Des amis. Plus de douleur. Je riais tellement que j’en pleurais.
Puis, le temps passa… et, dans ma grande curiosité, voulu essayer quelque chose. Et d’autre chose. Et des mélanges. Et encore plus de mélanges.
Ceux qui m’avaient incité à me droguer prirent leurs distances avec moi, considérant que j’étais trop « accro ». Moi, accro? Pfft! Je pouvais arrêter le jour que je le voulais! Mais pas aujourd’hui… Parce que… parce que ma mère avait encore voulu s’ouvrir les veines. Pas aujourd’hui parce que mon père m’a battu jusqu’à ce mon nez éclate en sang. Il fallait que j’oublie tout ça… et vite…
Alcool. Et drogue. Les deux ensembles. Ah! Maintenant je me sentais bien!
J’essayais la cocaïne. De l’ecstasy. Et l’héroïne. Cette dernière me fit beaucoup d’effet. Et ce fut celle que je pris le plus régulièrement possible. Dès que j’avais un peu d’argent… Je me fis de nouveaux copains. Des camarades de l’HÉROÏNE. On se droguait ensemble, on riait, on faisait la fête. Et lorsque tout le monde ressortait de son extase, on se demandait qu’est-ce qu’on faisait ensemble… Moi, pour ma part, je devins un pro pour me piquer. Mais moi, je ne voyais plus… je ne voyais plus rien… Il m’en fallait encore. Car, vous savez, cette drogue est vicieuse : plus on en prend, moins elle nous fait partir. Et on a besoin de plus à tous les «shoot ».
Et le jour vint que j’avais plus d’argent. Je commençai donc à voler ma mère. Et mon père aussi. Je savais où se trouvait la réserve de fric… Encore là, le pot d’économies baissa rapidement. Mes parents finirent par s’en rendre compte. Ils m’invitèrent donc à une « petite réunion familiale ». À peine quelques secondes que je me suis assis dans le salon, ils virent les marques. Ma mère commença à crier de désespoir. Mon père se pencha vers moi, me secouait, m’ordonna de dire d’où venait ces traces sur mes bras… je ne dis rien… Le paternel me gifla violemment, ma lèvre se fendue et je commençai à saigner, il alla donc faire une inspection de ma chambre. Quelques minutes plus tard, il revint, me frappa à nouveau, puis me lança mes aiguilles au visage.
Ma mère voulu me mettre en désintox. Bravo la mère! Met toi en désintox toi-même pour commencer! Elle me bourra de valium et mon père m’enleva le droit de sortir. Je restai donc trois jours, complètement drogué par le médicament, cloîtré dans ma chambre. Je vins agacer, j’avais BESOIN d’héroïne, je fis le mur. Je retombai dans la rue et recommençai… La deuxième fois par contre, ma mère ne voulus pas venir à mon secours. Et mon père lui, n’avait toujours pas digéré le vol des économies. Et ils ne voulu plus me revoir.
C’est ainsi que, sans toit, sans dope, sans personne, je vis le monde des possibilités se rétrécir à que quelques options… Un de mes copains d’héro m’hébergea quelques instants… avant de me foutre dehors, lui aussi. À son avis, puisque je n’avais pas d’argent, je n’étais qu’un poids lourd. Et apparemment, je lui volais de la came (bah, je ne lui en pris que quelques grammes...) Un soir, dans la rue et en sérieux manque, un homme m’aborda, me complimenta sur mon physique d’une façon laissant savoir des sous-entendus, et me donna un adresse. Le Club Sin, Quartier des Tuileries.
Intrigué, je m’y rendis. C’était un bar fétiche, une scène des déviations sexuelles étranges du peuple de Paris, le paradis du vinyle et des fouets. Légèrement mal à l’aise, je m’apprêtais à partir, lorsqu’une femme mesurant au moins six pieds m’aborda. De couleur noire, racée, belle, séduisante (et habillée de vinyle, bien entendu), elle posa sa fine main sur mon épaule.
-C’est la première fois que je te vois ici, très cher. Qui t’a donné cette adresse? Pris au dépourvu, je lui narra l’épisode de l’homme louche qui m’avait abordé le soir même.
-Oh, vous êtes donc une prise du Lapin! S’exclama-t-elle alors, en souriant. -Le… Lapin? J’avais besoin d’héro! Oui! Mes mains tremblaient et je transpirai à grosses gouttes. De la came, vite! Ma respiration était saccadée. Je sentais le sol mou sous moi. Je ne pensais qu’à une aiguille. Qu’à ça. En voyant mes symptômes de gars en manque, le sourire félin de la belle dame s’élargit encore.
-Aurais-tu besoin d’argent, mon petit? Je peux t’offrir un travail qui rapporte beaucoup. De plus, tu me sembles avoir le profil parfait pour ce petit job… Quoi? Cette femme que je ne connaissais pas m’offrait un travail? N’importe quoi et oui!
-Oui, fis-je dans un souffle. J’aurais besoin de travailler. J’ai besoin… de beaucoup d’argent. -Suis-moi… Et au fait, je suis Auria. -Et moi… (Je n’avais pas envie de dire mon vrai nom, alors…) Chu Ecstasy. -Ecstasy? (Auria éclata de rire) Ton prénom me plait, petit. Elle me mena derrière la scène qui surplombait l’intérieur du club. Derrière, je découvris tout un attirail qui aurait fait baver n’importe quel sadomasochiste… mais j’avais besoin de fric…
-Qu’est-ce qu’il faut que je fasse exactement? -C’est facile, mon petit. Rien de sale. Rien de douteux. Quelque chose de tout à fait légal. Danse. -Danser? Cette nuit fut le début de ma fin. Bien vite, je me rendis compte que les shows pour les vieux pervers amateurs de cuirette noire ne rapportaient pas assez. Y’avait Corbeau au Club Sin. Un bon mec, Corbeau. Avec ses cheveux noirs et les yeux foncés, il avait tout pour plaire. Il était jovial et parfois, il me refilait de la came. Comme je disais, un bon mec, ce Corbeau. Lui par contre, il ne faisait pas que danser. Il accueillait des gens, des hommes pour la plupart, à l’étage.
-C’est 75 dollars de la demi-heure, mec, ça rapporte vraiment! Tu devrais essayer! -Mais, Corbeau… Ça ne te dérange pas… de…te.. -Bof… Au début c’est étrange… Mais tu t’habitues! Et en plus, quand tu es complètement gelé, tu ne sens rien du tout! Et une nuit, je me résoudre à perdre ma pudeur. Un client qui avait particulièrement aimé ma prestation ne me lâchait plus. Finalement, je me retournai vers lui, les yeux comme des flammes :
-C’est 75 $ la demie-heure! Pour toute réponse, il s’approcha de moi.
-100 si on monte tout de suite. Et j’acceptai.
Le piège termina de se refermer sur moi. Je n’arrivai plus à vivre autrement que de cette façon là.
Famille
Parents ou tuteurs Pouah… ma famille. Je n’ai pas particulièrement envie de m’entendre là-dessus… Mon père se nomme Luc Guisset, incapable de conserver un job plus que quelques mois. Son comportement violent lui attire souvent des ennuis, du genre, une nuit au poste de police du coin. Ma mère, une grande dépressive celle-là!, se nomme Marie Caie. Mais bon, je ne vois pas pourquoi je raconte tout cela, de toute façon, les noms sont sans importance… Frères et sœurs Je n’ai jamais eu de vrais frangins et sœurettes… du moins avant que je me fasse foutre à la porte de la maison. Mais bon, maintenant, j’ai peut-être un p’tit frère ou une p’tite sœur, mais j’en sais rien, ça fait trop longtemps que j’y suis retourné… De toute façon, je n’ai pas envie de les revoir.
Sinon, y’a mon « petit frère » . Un orphelin. Il était aussi seul que moi lorsque je l’ai trouvé. Il habite avec moi, dans mon appart’ miteux. J’essaie d’être avec lui le plus souvent possible. Éric, c’est mon petit rayon de Soleil. La seule joie de ma putain de vie. Sans lui, ça ferait longtemps que je serai allé rejoindre Corbeau… J’ai peur des services sociaux. Qu’ils me l’enlèvent, vous voyez ce que je veux dire? Si je perds Éric, je perds l’esprit. Point. Autres fréquentations importantes Y’avait Corbeau… un de mes amis… avant que l’héroïne le fasse exploser complètement. RIP, Corbeau.
Autres
Ses rêves et ambitions pour l'avenir Rêves? Ambitions? Ne me faites pas rire. Possessions particulières N/A
Vous
Votre nom ou surnom ~Kenji Votre âge ~Toujours le même Comment avez-vous connu le forum ? ~Deuxième compte de Ânkh Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? Jesse McCartney Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ? Si quelqu’un veut faire Éric, alors go, sinon je peux toujours le faire exister dans les posts de ma résidence en PNJ Avez-vous hâte que je vous valide ? La fiche est-elle trop longue ? Nah Avez-vous une critique à formuler sur le forum ? Toujours l’en-tête du forum qui est trop long… | |
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