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| Dylan Da Costa | |
| | Auteur | Message |
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Dylan Racoon, voleur de poubelles
Nombre de messages : 489 Age : 34 Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Dylan Da Costa Ven 22 Juin - 10:30 | |
| Identité
Prénom et Nom Dylan Da Costa Surnoms Emmerdeur … voyou, sale voleur de merde… À vrai dire, c'est surtout les commerçants qui se donnent la peine de me donner des surnoms. Il y avait bien mon père qui aimait assez m'appeler le bâtard. Date de naissance 14 Mars 1990 Sexe Masculin, m'fin je crois… Âge J'ai seize ans et quelques mois derrière moi. Et sans doute pas beaucoup devant, au train où vont les choses, au nombre de gens qui aimeraient bien me planter un couteau dans le dos. Je ne me donne pas plus de quatre à vivre encore, si j'ai de la chance.
Physique
Description générale Ah ça… Je ne crois pas que je vais m'étendre. Je ne vois rien de plus à dire que je suis plutôt petit, assez maigrichon. J'ai des cheveux bruns presque noirs qui forment une jungle sur ma tête. Disons que je passe peu de temps à les coiffer et beaucoup à les secouer, à les ébouriffer et parfois même les salir. Non, vraiment je ne vois rien d'autre à dire. Oh si. Ma mère était asiatique, et mon père irlandais. Donc j'ai le nom de mon père et les yeux de ma mère. On appelle ça un eurasien si j'me trompe pas. Mais je suis loin de tout avoir des asiatiques. J'ai la peau vachement pâle comparée à eux. De un parce que je sors rarement en plein jour et de deux parce que de nature j'ai la peau claire. En me voyant, je vous préviens tout de suite, vous risquez de ne pas vous faire une très bonne impression de moi. Je suis souvent sale, toujours dans les mêmes vêtements que je m'efforce quand même de laver assez souvent, aux trois-quatre jours quand je suis chanceux. Sinon, ben j'arrête de compter pour ne pas me sentir trop crotté. J'ai toujours une paire de lunettes fumées sur les yeux, même la nuit, mais ce n'est pas ça qui m'empêcherait de voir devant moi. J'ai une très bonne vue. Taille La dernière fois que j'ai eu l'occasion de me mesurer, j'avais 11 ans… J'imagine que j'ai grandit depuis. Enfin, cette dernière fois, je ne mesurais pas plus d'un mètre soixante. Corpulence Ah là… je dois pas peser grand-chose. Je mange tout ce qui me tombe sous la main c'est vrai, mais je passe mon temps à courir les rues alors j'en reperds plus que j'en prends. On doit me prendre pour un sous-alimenté parfois. Signe particulier Si je porte des lunettes fumées, ce n'est pas pour rien. C'est même pas pour un sens de l'esthétique hyper élevé. Personne les voit quand je sors la nuit anyway. Non si je les porte, c'est parce que je ne suis pas trop fier de mes yeux. Je n'ai pas les yeux d'un humain banal. Non, il n'y a pas de blanc à mon œil, où s'il y en a, il est loin derrière. Jamais voulu aller voir en fait. Aussi, le contour de mes paupières, et ma paupière au grand complet, est tout noir. Quand j'étais plus jeune, ma mère riait en m'appelant son petit raton laveur. Je suis aussi doté d'une agilité hors du commun, mais on repassera là-dessus. Après tout, je suis pas le seul être vivant qui en soit doté je crois. J'ai aussi une queue de raton. Elle est longue, me descent un peu plus bas que les genoux. Je peux la cacher facilement puisque je porte des vêtements amples.
Caractère
Description générale Curieux et vif, voilà une bonne façon de me décrire moi, animal malhabile et un peu lent. Enfin, je dis lent, mais quand je détale, je laisse tout le monde derrière moi. J'ai aussi un don pour grimper aux arbres, et un peu partout en fait, pour me mettre hors de portée des cailloux et divers objets qui se lancent bien dans ma direction. J'aime bien nager, mais pas trop souvent et ne me demandez pas d'aller en profondeur, ni même de faire entrer ma tête sous l'eau. Je d-é-t-e-s-t-e ça au plus haut point, vous n'avez même pas idée. En fait, ça me fait purement et simplement paniquer et je perds les pédales. Je n'aime pas être dérangé, aussi je préfère agir la nuit, sortir de mon trou quand tout le monde prend le sien. Si la température me convient, - car je déteste les trop grands froids, et ainsi donc l'hiver – je me mets à l'œuvre dès la tombée de la nuit. Je manipule tout avec un grand soin, nettoyant tellement un déchet qu'il devient presque comme neuf une fois qu'il est passé entre mes mains. J'ai parlé de ma manie du rangement ? Quand je n'ai rien à faire, je nettoie tout ce qui me tombe entre les pattes. Je suis très habile et excessivement curieux. J'adore fouiller dans ce qui ne m'appartient pas et y trouver exactement ce qui fera mon affaire. Kleptomane ? mn … Peut-être bien. L'hiver et quand il fait trop froid pour moi, je vis un peu au ralenti. Je sors moins souvent, je mange moins, et donc je maigris considérablement. J'adore le sucre… Je l'ai dit ? Et peut-être aussi je devrais le préciser maintenant avant que vous ne le remarquiez tout seul, j'ai la manie de changer de sujet très rapidement, parfois sans aucun fil conducteur. Je suis habituellement peu sociable et solitaire, mais je n'envoie promener personne quand on vient me parler. D'ailleurs quand je commence à parler, plus moyen de m'arrêter. J'aime la compagnie en clair, mais je ne vais pas la chercher moi-même. Je suis plutôt gamin sur quelques aspects de ma personnalité. J'adore m'amuser et un rien me distrait. Tic Je me gratte frénétiquement le cuir chevelu ou l'arrière du cou, à petits coups vifs des doigts. Mais je n'ai pas de poux … enfin je n'ai plus de puces…
État
Statut social Euh … On a droit à un statut social quand on se nourrit des déchets des autres ? Cool… Statut civil Célibataire, encore et toujours.
Famille
Parents ou tuteurs Nicholas Da Costa, mon cher paternel. Je ne sais pas du tout ce qu'il devient et à vrai dire, je m'en fous. Ma mère, Fuji, était assez proche de moi, jusqu'à ce que mon père la force à m'abandonner lâchement. Frères et soeurs Jamais entendu parler… Autres fréquentations importantes Qui aurait envie de fréquenter un voyou comme moi ?
Autres
Ses rêves et ambitions pour l'avenir À vrai dire, comme ma survie est difficile, ma plus grande ambition est d'être encore en vie demain matin. Possessions particulières Oh là … pas grand-chose.. Que des trucs volés planqués un peu partout. Jamais voulu risquer de faire l'inventaire complet. En fait oui, j'ai toujours la montre à gousset de mon ex prof sur moi.
Vous
Votre nom ou surnom Anne-Sophie Votre âge 16 Comment avez-vous connu le forum ? comme ça là ... Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? C'est un Cosplay de L <3 Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ? nop nop, je crois pas Avez-vous hâte que je vous valide ? ... La fiche est-elle trop longue ? mi nah Avez-vous une critique à formuler sur le forum ? nop | |
| | | Dylan Racoon, voleur de poubelles
Nombre de messages : 489 Age : 34 Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Dylan Da Costa Ven 22 Juin - 10:30 | |
| Sa vie Il y a ben des gens qui vous diraient que je ne suis pas grand-chose. Ces gens-là n'ont pas tout à fait tort, écoutez-les. Mais j'ai déjà été quelqu'un avant. Avant que mon corps change, c'est bien sûr. Avant, je vivais avec mon père et ma mère, dans un joli petit coin de l'Irlande, verdoyant, chaleureux. Enfin, vous voyez le topo. Une petite vie bien sympa, une vie de roi si on compare avec ce qui me reste aujourd'hui, s'il me reste bel et bien quelque chose. Mon père s'appelait Nicholas Da Costa, un fonctionnaire un peu bourru c'est vrai, mais un père aimant –pour le temps que ça a duré. Son travail était l'idéal pour élever un enfant. Que la semaine, il était de retour quand moi je rentrais des cours, passait même me prendre sur le chemin quand on se croisait. J'entretenais une relation très forte avec lui et je vantais les mérites de mon cher papa à tous mes amis. C'est le plus grand, le plus beau, le plus fort, le plus merveilleux des pères. Mais gare à moi si je le dérangeais pendant son travail. C'était deux choses qu'il ne voulait pas mélanger. Famille, boulot. S'il en ramenait à la maison, il s'enfermait pour qu'on ne lui parle pas et qu'il finisse au plus vite pour s'occuper de nous. Son bureau était une zone sinistrée. Je n'ai jamais osé y entrer sans y être invité. Enfin, c'est ce qu'il croit. Ma mère, Fuji, était une dame d'autant plus chaleureuse que mon père. Elle travaillait dans un petit restaurant tenu par un de ses amis. Elle souriait toujours cette bonne dame, toujours prête à répondre à quelqu'un, elle avait pourtant toujours du temps pour s'occuper de moi. Parler d'elle longuement ne me tente pas beaucoup, quand je le fais, je suis pris d'un ennui fou et je deviens taciturne. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été très sensible au froid. Enfin, plus que sensible, même si aujourd'hui c'est moins extrême. L'hiver, dès que je mettais le petit orteil dehors, je tombais malade. Mes parents ont vite du s'adapter au fait que durant la saison froide, je ne pouvais pas aller à l'école, c'était comme de me pousser à la pneumonie. Mais ils s'y sont fait, ont engagé un professeur privé pour me faire l'école à la maison. Mais bon, j'étais distrait par n'importe quoi alors ça n'a pas été superbement bien. Mais on peut tout de même m'accorder le mérite d'apprendre rapidement. C'est avec mon professeur que mes manies kleptomanes ont commencé. Je devais avoir … Six ans et demi environ. À sa poche pendait une jolie chainette dorée. Ce ne fut pas long avant que je m'en empare, découvrant ainsi une superbe montre à gousset. Je la garde d'ailleurs toujours sur moi, autour de mon cou ou dans mes poches. C'est un souvenir cher. Mais avant, chez moi, je ne pouvais pas la garder trop près. J'ai du penser à une cachette. Je l'ai gardée sous mon matelas pendant des années. Tous les soirs je la prenais et la regardais briller. Magnifique. Puis j'ai commencé à voler d'autres broutilles, et à les planquer un peu partout dans la maison. C'était amusant. Plein de choses disparaissaient, peu revenaient à leur place. Puis ce fut la manie d'enterrer tout ce que je trouvais qui arriva. Je me levais la nuit pour chiper divers objets et les enterrer dans le jardin. Ça a duré quelques années. Vous savez ce qui est venu vers mes sept ans ? L'obsession de la propreté. Je crois que c'est à cause de la montre à gousset. Je voulais qu'elle continue de briller, alors je l'astiquais toujours. Puis ce fut le reste. Tout ce que je mangeais devait être inspecté et retourné sept fois entre mes doigts, la moindre saleté y passait. Mes parents étaient étonnés, la maison reluisait, j'astiquais tout ce qui ne me paraissait pas parfait. Vous allez que pour quelqu'un qui a la phobie du sale, je suis un peu négligeant de ma personne. En effet. Je passe tellement de temps à essayer de survivre et nettoyer ce qui m'entoure que je m'oublie un peu. C'est à neuf ans que mon corps a commencé à changer. Oh je sais, ce n'est pas grand-chose, je suis chanceux comparé à d'autres hybrides. Ce ne sont que mes yeux qui ont été touché par la maladie. Et heureusement pour moi, je l'ai remarqué avant tout le monde. Le blanc de mon œil devenait plus foncé de jour en jour. J'ai cru d'abord que c'était une infection. Quand je l'ai montré à ma mère, elle s'est contentée de soupirer et de m'acheter des lunettes fumées en me disant de ne jamais montrer mes yeux à mon père. J'étais étonné, mais comme elle avait l'air inquiet, je n'ai pas osé poser de questions. Au départ mon père trouvait ça étrange. Dans la maison, avec des lunettes … Autour de la table, avec des lunettes… Ma mère lui fit croire que j'étais atteint de conjonctivite et que ça me gênait. Dire que j'y ai moi-même cru à cette histoire de conjonctivite… Pathétique quand j'y repense. Je ne me suis pas regardé dans le miroir pendant quelques mois. Enfin, oui, mais pas sans enlever les lunettes. De toutes façons, ces trucs ne m'empêchaient pas de voir, je continuais d'avoir une vue très claire malgré les verres fumés. Mais la curiosité – j'ai dit que j'étais curieux – m'a poussé à les retirer, pour voir si j'étais toujours malade. J'ai eu la peur de ma vie en me regardant dans le miroir. Mes yeux étaient devenus complètement noirs, ce qui était franchement étonnant vu le fait qu'ils étaient gris clair autrefois. Mais ce n'était pas tout. Tout leur contour, là où il y avait les lunettes, tout était noir, comme taché. J'ai essayé de l'enlever. J'ai frotté comme jamais pour faire partir ces taches. Tout ce que j'ai réussit à faire fut de m'irriter le visage. Bravo, oui. J'ai pleuré, j'ai hurlé. J'ai couru dans la cuisine où se trouvaient mon père et ma mère. Je me suis jeté dans les bras de ma maman en hurlant que j'étais malade, que je devais aller voir un docteur. Pour que moi je demande à y aller, j'étais vraiment paniqué. Je n'ai pas vu tout de suite le regard de mon père. C'est quand je me suis tourné vers lui que j'ai vraiment vu que quelque chose n'allait pas. Il n'y avait plus d'amour dans ses yeux, seulement du dégoût, un dédain profond. Il s'est levé sans dire un mot et est sorti. Je l'ai perdu complètement à partir de ce moment. Oui il était toujours à la maison, oui il continuait de s'occuper de moi. Mais il ne me souriait plus, et quand j'avais dos tourné m'appelait le bâtard. Je sais que ça faisait du mal à ma mère. C'est d'ailleurs elle qui m'a expliqué pourquoi c'était dangereux que j'aille à l'hôpital dans mon état. Mon père m'a enduré quelques temps, jusqu'à mes onze ans, où il en a eu assez. Je crois que c'était du au fait que l'un de ses collègues m'ait vu sans lunettes un jour. Il a dit à mes parents qu'il allait les dénoncer pour garder un monstre chez eux. Ma mère l'a renvoyé chez lui en criant. C'était la première fois que je la voyais en colère. Mais il restait une chance pour que cet homme appelle la police. Ça a prit quelques jours avant que mon père décide de ce qu'on allait faire, ou plutôt de ce qu'eux allaient faire. Ils allaient m'emmener loin d'eux, dans un autre pays, et m'y abandonner. C'est mon père qui a fait le voyage ave moi jusqu'à Paris. Je n'ai même pas pu dire adieu à ma mère. Mais je sais qu'elle et moi avons du pleurer avec la même intensité, pendant des jours et des jours. Que croyez-vous qu'il arrive à un enfant de onze ans lâché en pleine ville ? Il a peur. J'ai eu terriblement peur. Toutes ces grandes personnes qui me toisaient avec pitié ou impatience. J'ai du mendier les premiers temps, puis j'ai effectué quelques travaux sans intérêts pour gagner un peu d'argent. Puis j'ai commencé à voler tout ce qui passait à ma portée. Argent, nourriture, objets de valeurs ou broutilles sans intérêt. Tout était bon à prendre. Je volais autant par nécessité que pour passer le temps. Je suis rapidement devenu un expert du vol à l'étalage et à même le pantalon. Discret, rapide, efficace. Vous aurez comprit que je vis comme je le peux. Rarement je dors au même endroit. Parfois je suis chanceux, je trouve une maison vide pour les vacances, des fois je le suis moins, et je dors sous un pont ou dans un parc, ou encore dans un arbre. Oh mais n'ayez pas pitié de moi je vous en prie, je suis en vie, c'est tout ce qui compte. Et il y a de fortes chances que votre bourse y soit pour quelque chose et que vous n'en sachiez rien. | |
| | | Ida de Barancy Beauté Mortelle, héritière du trône
Nombre de messages : 794 Age : 34 Date d'inscription : 13/06/2007
| Sujet: Re: Dylan Da Costa Ven 22 Juin - 10:36 | |
| /me a besoin de dire "validé" ? XD 'fin bref ... | |
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| Sujet: Re: Dylan Da Costa | |
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| | | | Dylan Da Costa | |
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