Rencontre avec les siens (pv Eledhwen et Ashael)

Oh je n'essaie pas de te piéger ma jolie, détrompe toi. Je ne trompe pas les gens. Je ne leur dis pas tout, ou alors je leur dis carrément ce qui les attend, mais je ne mens que très rarement et je déteste briser mes serments, même si je ne me prive pas pour le faire quand c'est vraiment nécessaire ou que l'on s'est joué de moi. Toutefois je ne te corrigerai pas. Si tu veux croire que j'essaie de te manipuler, libre à toi jeune fille. Je t'ai seulement dit que tu aurais à faire quelque chose comme moi. Cela risque d'être un classique; tuer quelqu'un, enlever un enfant… enfin, je verrai en temps et lieu, je n'y suis pas encore alors pourquoi m'en préoccuper ? Je lève les yeux au ciel, soudain captivé.

-La dernière fois que je suis allé là haut, c'était il y a plus d'un siècle. Je me demande comment ils vont réagir cette fois.

C'était plus pour moi-même que j'ai émit ce commentaire mais qu'elle entende ne me faisait ni chaud ni froid. Elle n'était pas importante au point que j'aie à me soucier de ce que je disais devant elle. Enfin, peut-être le deviendrait-elle un jour. Sans avertissement autre que "replie bien tes ailes Cendrillon" je soulève la jeune femme dans mes bras maigres mais dotés d'une puissance surhumaine. Dans un claquement d'ailes, je nous fais monter au dessus des nuages aussi rapidement qu'une flèche lancée vers sa cible. En moins de temps qu'il n'en faut pour dire "étalon", nous pouvons apercevoir au loin le scintillement divin – moi je dirais plutôt aveuglant et laid – d'Arraen'goll. J'émets un petit sifflement de dédain lorsque je nous fais franchir à toute vitesse les remparts étincelants de la ville. Je passe aussi vite que possible au dessus de tout le monde, mais l'on me reconnaît, l'on m'insulte, l'on me pointe du doigt, l'on couvre les yeux des enfants. Je ris cruellement, élevant soudainement la voix pour que l'annonce de ma venue soit rendue officielle. D'ici quelques instants, mes marionnettes m'auront toutes rejoint et encercleront ma demeure, empêchant quiconque d'y entrer, la nettoyant et virant à coups de pied les visiteurs indésirables. La fillette toujours dans mes bras, j'effectue un piqué en parvenant près du palais du Créateur. Alors que je nous pose au sol, des sentinelles tremblantes de frayeur viennent me barrer la route.

-Vous ne pouvez pas passer sans être invité.
-Ah non ? je m'exclame d'une voix forte et menaçante, qui le fait reculer de quelques pas. Eh bien sachez que nul ne se place entre moi et mon but. Pas même les ridicules serviteurs de la Grande Reine.

D'un petit mouvement de doigts discrets, je tire les ficelles que me relient aux sentinelles, forçant ces hommes à s'écarter dans une révérence pénible, leur corps sur le point de se rompre tant je les fais plier. Je ris – rire sans joie ne dénotant rien de particulier autre que cruauté - tout en prenant la main de Cendrillon et en la guidant à ma suite. Le palais d'Ashael est grand, trop blanc et trop pur. Je grimace tout en savourant les traces noires que laissent mes bottes sales sur son parquet rutilant… Le palais est bien beau … et vide.

-Elle ne tardera pas, je murmure. Elle aura tôt fait d'apprendre ma venue et viendra le plus vite possible.

Je lâche mon accompagnatrice et marche un peu dans la pièce, avant de me laisser choir dans un grand fauteuil, Son fauteuil. Je ricane doucement.

-Au fait dis-moi, pendant qu'on attend la grande prêtresse, quel est ton vrai nom ?

[on n'a qu'à continuer de discuter en attendant que la grande reine trouve le temps de venir poster XD ]

[oki ^^]

Tout en parlant il lève la tête vers le ciel, je suis d'instinct son regard sans savoir vraiment où le poser. Puis lorsqu'il me dit qu'il ne sait pas comment les autres vont réagir, mon coeur s'emballe peu à peu, alors je vais vraiment y aller là haut ?

Il me prend soudainement dans ses bras longs et chauds mais à la fois si froids, je ne sais toujours pas comment expliquer cette impression, mais j'espère pouvoir un jour le savoir... Je passe mes bras autour de son cou puis il décole d'un mouvement d'aile, ses ailes sont si puissantes moi même je ne pourrais voler aussi vite, aussi bien, mais tout cela je le garde pour moi, oh non pas pour qu'il n'entende , mais tout simplement parce que avec lui je ne sais vraiment pas comment il réagirait... Nous arrivons si vite que j'ai à peine le temps de dire ouf...

Je regarde autour de moi, on peu pas vraiment dire que cela soit différent d'en bas, oui sauf peut être à pars qu'ici il y règne la paix, on la sens des que l'on arrive devant les remparts de la ville, cette ambiance je crois ne jamais l'avoir réellement connue... Hélas cela fut de courte durée car à peine avions nous parcourue quelques mètres que le peuple se retourne et jette des regards noirs vers cet ange, on l'insulte, on le montre du doigts, on cache les yeux des enfants... Alors il souffre réellement, enfin même si je ne peux pas l'affirmer, tout cela ne doit pas vraiment être facile a vivre, cet ange il... a été rejeté des siens, ou plutôt personne ne le porte dans son coeur... Qu'est ce qu'il a bien put faire... Une pointe d'amertume envahie mon coeur, et a ce moment je resserre mon étreinte sur son cou, comme ci il pouvait cela pouvait le réconforter, bien que je sache qu'il s'en fiche pas mal de moi je ne peux m'empécher de le faire. Cela est si bizarre moi qui d'habitude se fiche complètement de tout le monde de toutes les races, me voila à serrer plus fort le cou d'un ange qui se fiche complètement de moi...

Soudain il fonce vers le bas, et je peux enfin poser mes pieds à terre, seulement deux sentinelles sont là à nous barrer la route, je ne dis rien préférant regarder comment il va s'en sortir, oh certainement en infligeant la peur comme d'habitude... C'est paroles ont l'air si menacantes, et puis rien ne peux l'arèter...Soudain les deux serviteurs se plient, ils en ont mal mais moi je ne peux faire autres que sourire, pourquoi ? Sa c'est dans ma nature...

Il me prend alors la main et nous entrons dans le palais de la reine, il est si blanc peut être un peu trop à mon gout...Mais bon. Je regarde derrière moi et j'apercois alors les traces de pas, un second sourire apparait sur mes lèvres... Il me tient toujours la main et m'entraine toujours plus loin dans le palais , et il est si vide...

Lorsqu'il me lache enfin la main il me dit que la reine ne tarderais pas, je fais un hochement de tête mais aucune paroles ne sort réellement de ma bouche. Puis il va s'assoir dans un fauteuil, et a voir le fauteuil c'est certainement celui de Ashael...

Je pars a nouveau dans mes pensées, fermant les yeux lorsque sa vois résonne dans la pièce je le regarde et il me demande mon nom, mon vraie nom, jamais un jour je n'aurais penser qu'il me pose la question, qu'est ce qu'il en à a faire de mon nom ? Certainement tout aussi bien que moi... Rien...
Cependant je lui répond d'une vois presque tremblante

-Eledhwen Sensi

Et lui quel est son nom ? Je ne sais pas pourquoi mais j'ai terriblement envie de le savoir...

-Et toi ?

Eledhwen… Charmant nom petite dame. Je dois toutefois dire que cela ne te va pas mieux que Cendrillon. Avec tes boucles blondes, ton visage de princesse de films, tu ressembles à la petite souillon à la fois avant et après son mariage avec le prince. Une expression triste, souvent balayées par un sourire dissimulateur. Devrais-je maintenant t'appeler par ton véritable prénom ? … Nah. Cendrillon a fait l'affaire jusqu'ici, pourquoi m'arrêter ?

-Et toi ?

Je hausse un sourcil en même temps que j'étends mes jambes en travers du fauteuil. Les yeux clos, je me mets à mon aise, la tête renversée en arrière sur un bras du grand trône. Quel abruti cet Ashael. Non content d'avoir une salle du trône, il s'en fait installer un chez lui. Moi je n'ai pas de salle du trône… Je pourrais lui emprunter celui-ci et le mettre chez moi pour quelques siècles. Bof. Pour le peu de temps que je passe à la maison, je n'en vois pas trop l'utilité.

-Mon nom t'intéresse ? je demande en rouvrant des yeux dépareillés et en les posant sur elle. À quoi cela pourrait-il te servir ? Les gens qui me connaissent m'appellent Maître, même s'ils ne le veulent pas. Ils finissent toujours par le faire, que ce soit sous la menace ou par simple aveu de leur faiblesse.

Je gratte le verni sur mon ongle d'un air distrait. Ils commencent à se faire longs ces machins… Je porte le doigt à ma bouche et glisse un ongle entre mes dents pour lui faire la peau. Après un moment de silence seulement détruit par le cliquetis de mes dents, je crache la rognure sur le sol lustré d'Ashael, un sourire méchant sur le visage.

-Raquel, je finis par dire sans regarder la blondasse. Le Déchu, le Marionnettiste, le Monstre – je souris de toutes mes dents – ou l'Impureté. Ou comme je t'ai dit plus tôt, Maître. Celui-là est plus approprié à ta condition.

J'étire mes lèvres en une grimace amère. Si une petite chose impuissante comme cette jeune femme s'avisait de m'appeler par l'un de mes surnoms, elle se verrait aussitôt clouée au mur, au sens propre du terme. De longs clous rouillés qui s'enfonceraient dans sa chair, libérant des flots de sang noirâtre. Je passe ma langue sur mes lèvres, abaissant à nouveau mes paupières. Le sang qui se répand sur son petit corps tout pur, tout chaste. Son visage figé dans une expression de terreur et de douleur profonde. Profonde. Hmn. Je mords ma lèvre, puis me secoue. Ce n'est pas le temps pour moi de penser à violer une bécasse sans importance. Non. Je l'ai emmenée ici pour qu'elle rencontre la Reine, sa mère indirecte. Je pourrai la tuer après, quand j'aurai accompli ma part du marché. Je n'aurai qu'à lui dire que le prix à payer était sa vie, ou encore sa servitude. Oh arrête de penser à ça Raquel, tu en as l'eau à la bouche. Qui ne l'aurait pas ? Hmn… Peut-être quelqu'un de moins désaxé que toi. Je ne suis pas désaxé, je profite, voilà tout. Quel mal y a-t-il à se servir de ce que le monde nous offre. J'ai pour école de pensée que si Dieu a créé l'humain, c'était pour que je le baise. Il avait pressenti ma venue. Ouais, ce doit être ça. Je souris à nouveau, puis, sans ouvrir les yeux, je tourne la tête vers Blondie.

-Tu sens l'animal, je souffle. Tu as la même odeur – peut-être en moins fort – que les hybrides. Une odeur fauve. Qu'es-tu es exactement ?

Non pas que sa réponse m'intéresse.

-RAQUEL !

J’ai n’ai pas le cœur à rire même si je ne ris jamais, même si je ne connais pas la signification du mot rire. Ces derniers jours furent un véritable chaos avec le Conseil des Anges. L’un des membres les plus anciens fut lâchement et froidement assassiné par les Vampires, les Anges en sont convaincus, mais comme je n’ai pas assisté à la scène, je ne pourrai émettre de conclusion. À dire vrai, j’étais préoccupé par autre chose et cette certaine chose risque de me rendre fou à la longue. Je secoue la tête en vue de repousser mes pensées amères en plus de mes souvenirs des réunions pénibles où chaque partie se dispute sur la nature du meurtrier et qui remplacera le défunt. Mes traits se font durs.

Je dois avouer que les hypothèses furent variées, l’un penchait vers une attaquer rebelle des Hybrides, un autre sur les Vampires qui se vengeraient et l’autre affirmant qu’il y avait peut-être autre chose derrière cette soudaine et inquiétante mort. Pour ma part, il n’y a que deux possibilités plausibles. Les Vampires et Lui. Ida – je grince des dents à son nom – ne ferait pas éliminer un Ange qui ne lui servira à rien, elle m’aurait tué moi. Et Lui ? Il m’apporte les Anges infidèles après s’être amusé un peu avec eux. Je frissonne. Je frissonne ?

Depuis plus de trois jours que le Conseil se réunit, depuis plus de trois jours que je m’ennuie et que je suis un amas de nerfs tendus. Oui, de nerfs tendus. C’est troublant. Je n’ai jamais été anxieux de toute ma longue vie et me voilà nerveux à cause de cette Chose ! Oh, n’oublions pas la cerise sur le gâteau, en plus d’être énervé et lassé de compagnie – j’ai eu mon cota de présence pour les prochaines années-, on m’apprend, par un valet de mon palais, que j’ai un visiteur et que ce visiteur n’est nul autre que ce bon vieux Raquel. J’aurais pu le deviner seul : tous les Anges marchent sur la pointe des pieds.

-Maman ! s’écrie-t-il jovialement du haut de mon trône.

Je lui adresse un regard glacial. Raquel, tout de noir vêtu, est dignement avachi sur ce royal fauteuil, une jambe sur l’un des bras, bien à son aise. Je fronce les sourcils en observant ses énormes bottes de cuir dégoulinante de boue. Si je pouvais, je crierais, mais mon manque de réaction entraîne plutôt un pincement des lèvres à peine perceptible.

-Que fais-tu ici ? demande-je en gravissant rapidement les quelques marches me séparant de lui. Je croyais que nous nous étions entendus Raquel, plus de visite au palais.

-Pourquoi ? dit-il en affichant son sourire carnassier. Tu ne veux pas que tes petits Anges me voient avec toi ?

-Mes Anges savent tous très bien notre liaison, je tranche, neutre. La raison ? Elle est évidente, tu salis ma demeure avec tes bottes sales.

Raquel et moi échangeons un regard, lui surpris et moi impassible. Mon fils retrousse ses lèvres et ricane avec une sorte de joie.

-As-tu quelque chose à me dire, à me montrer ? Dans le cas contraire, je te demanderai de quitter ces lieux. Je n’ai guère envie que l’armée des Anges débarque en vue de te garder à l’œil.

Je le dévisage sévèrement tout en contemplant une nouvelle fois ses traits, son visage osseux et maigre, peinturé de maquillage, ses cheveux de jais, ses ailes noires et majestueuses, son long corps squelettique affublé de vêtements élégants. Tout à fait le contraire de mon corps rayonnant.

-Je voulais te présenter quelqu’un, avoue-t-il, son sourire se fait vorace.

Je soupire de découragement.

-La dernière fois que tu m’aies présenté un individu, il était décomposé et malodorant.

Raquel ricane et désigne quelque chose derrière moi de sa main. Interdit, je pivote sur mes talons en rencontrant les yeux d’une femme, d’une Ange que je ne connais pas vraiment.

-Qui est-ce ?

[c'est à ton tour Eledhwen ^^ Tu n'as qu'à te présenter toi même, faire comme si tu coupais la parole de Raqui :) ]

[je suis désoler pour l'abscence mais enfete avec les cours c'est pas facile ^^]

Mon corps se glace lorsqu'une voix lointaine se fait entendre, cette voix vous fait froid dans le dos, et ce nom crier n'est composé que de mots violents! un ange, un ange d'une beauté remarquable, du moins c'est ce que je vois, car ma vision se brouille un peu avec cette éclat de lumière, nul ange ne peut être plus blanc que celui ci, et certainement pas moi!

De toute manièere cette ange ne peut être autre que la reine, comment l'ai je deviner? Il n'y a qu'a voir la facon dont elle marche, la facon dont elle parle et surtout comme me la dit Raquel quelque instant plus tot personne ne l'appel par son nom, or l'ange vient de le faire...

Mon regard se glisse legerement vers Raquel, du moins le nom qu'on lui attribut! Puis mes yeux glissent vers ses bottes, apparement Ashael n'aime pas voir son palais sale! Je ne peux m'empecher d'esquisser un leger sourire glacial...

Ils parlent tour a tour, et d'apres leur ton ils n'ont pas l'air de s'apprecier, du moins c'est ce que je ressens des que je les entends, leur voix est si froide, et non chaleureuse comme celle d'une retrouvaille!

Raquel lui dit qu'il vient lui montrer quelqu'un, bien sur ce quelqu'un en lui même c'est moi, je ne peux m'empecher de me fair epetite, du moins j'essaye car avec cette blancheur immatriculée on ne peut que me voir...

Ashael me regarde alors, moi abordant toujour smon sourire, je ne sais comment me comporter, laissant mon sourire s'effacer sur mes lèvres d'un seul mouvement. Avant même que Raquel ne lui réponde, je lui coupe la parole sans un regard

-Mon nom est Eledhwen!

Rien d'autre que ces mots, j'attends patiemment, et si j'aurais pu un ricanement aurait sortit de ma gorge

[desoler j'ai du faire vite laor spour les fautes et la longueur je suis vriament désoler ^^]

Ne reconnais donc tu pas tes créatures ma chère ? Cette chose – pas d'autre mot qui me vient à l'esprit – qui se tient devant toi est l'une des tiennes, une de tes créatures immondes et sans goût aucun, sans esprit. Eh bien celle-ci ma chère, pourra sans doute te donner un peu de fil à retordre. Elle ne connaît pas vos valeurs stupides, elle aime la chaire fraîche. Peut-être même que son côté animal pourrait te répugner, te faire penser à une hybride. Mais elle n'est pas comme telle rassure-toi. Si c'était le cas, je le saurais. Je sais reconnaître ces douces créatures, je les désire. Elle… non. Pas une miette. Je te la laisse, elle n'a aucun intérêt pour moi.

-Tu as égaré une de tes brebis, Mam's.

Je lèche mes lèvres teintées de rouge carmin, affichant un mince sourire satisfait. Je sais qu'elle déteste se faire appeler ainsi devant les siens, et même quand nous sommes seuls. Mais je n'en ai cure. J'aime l'ennuyer. Je dois être coincé dans mon adolescence depuis plus de 6000 ans. Au moins j'ai eu la chance d'échapper à l'acné… ces pauvres humains.

-Égarée ?

-Elle trainait dehors, comme un jouet oublié par son possesseur. Elle ne peut appartenir à personne d'autre qu'à toi, à moins qu'il y ait un nouveau fournisseur de démons ailés dans le coin et que je n'aie pas été mis au courant.

J'émets un rire doucereux et ironique en voyant l'air furieux d'une Ashael qui essaie de se contenir. Elle n'a jamais vraiment aimé le terme "démon" quand je parle de ses enfants monstrueux. Au moins ils sont à son image, je pense.

-Et si tu t'en fais pour tout le remous que j'ai créé dans ta cité, c'est sa faute, je dis en pointant la brebis égarée. Je n'avais pas l'intention de revenir ici avant au moins un siècle. Mais je crois que je vais rester quelques temps, histoire de voir ce qui a changé. Probablement rien. Ta société est tellement retardée… Bref, si ça ne te fais rien…

-Tais-toi Raquel, et reste assis.

Pour une fois, je me tais et obéis. C'est qu'elle a l'air vraiment soucieux cette furie.

-Tu me l'as amenée, alors reste le temps qu'il faudra. Elle a l'air de t'apprécier – ce que je ne comprends pas du tout – alors si tu la laissais seule avec moi, je ne sais pas comment elle réagirait.

Je soupire de mécontentement. Moi qui avais déniché une vieille angèle dans un trou pourri de cette cité.

-Très bien très bien. Mais si elle veut que je parte… qu'elle ne se prive pas de le dire, j'ajoute avec un regard insistant vers Cendrillon.

[répondra qui voudra... chronologiquement ce serait Ashashou... mais je ne sais pas... as you wish XD
oh d'ailleurs, Eled... la phrase à la fin de la signature XD elle s'applique bien à Raquel.]