Petit moment de détente

Nombre de messages : 55 Age : 32 Race : hybride Date d'inscription : 31/08/2007

Je sors juste d'une leçon, dans le quatorzième arrondissement. Des gens gentils, mais l'ambiance est bizarre chez eux, j'ai tendance à m'y sentir mal à l'aise. Mon "élève" a huit ans, mais j'enseigne aussi un peu aux parents. Ils m'ont expliqué que leur enfant avait subi un traumatisme (je n'ai pas demandé lequel), et qu'il n'avait plus prononcé un mot depuis. Ils ont trouvé mon annonce dans le journal (au moins un investissement qui n'aura pas été vain), et ils m'ont appelée. Personellement, je pense qu'il a plus besoin d'un pédopsychiatre que de cours de langage des signes, mais je n'ai rien dit à ce sujet. Ca ne me regarde pas, et, j'ai un peu honte de le dire, mais j'ai besoin d'argent. On ne se pousse pas devant ma porte pour avoir des leçons, et si maintenant je suis dans un bon mois, il y a des fois où payer le loyer est vraiment difficile...
Mais bref, ce n'est pas pour ça que je suis là. J'ai l'habitude de venir ici de temps en temps, aux heures où il y a le moins de monde. Aujourd'hui, je suis venue en vélib', j'ai pris un journal gratuit en passant, et je suis allée dans un coin discret du parc où je me suis assise. Un regard à droite, un regard à gauche, encore une fois, et je commence à lire. Tout haut. Je murmure d'abord, j'ai un peu peur que quelqu'un arrive, et comme toujours, je finis par me détendre. Il n'y a jamais personne ici, c'est pour ça que j'y viens. Vous vous demandez peut-être pourquoi je lis tout haut? La réponse est toute simple.
Avant, j'étais très bavarde, je parlais tout le temps, à tout le monde. Et depuis six ans, je dois faire croire à tout le monde que je suis muette. Je n'ai eu aucune conversation autrement qu'en langage des signes ou sur papier depuis, et je dois dire que ça me manque affreusement. Ca m'obsède. Ou ça m'obsèderait si je n'avais pas ces moments, où je peux entendre le son de ma voix, un peu enrouée au début, certes, mais toujours là. Je lis les passages qui m'intéressent le plus ou me font réagir, je commente, et j'oublie un peu que je suis seule. C'est vrai, ça ne vaut pas une vraie conversation, et il y a toujours ce petit son désagréable dans ma voix qui est arrivé en même temps que ma langue fourchue, mais on s'y habitue. Je n'ai plus l'impression de parler avec une voix qui n'est pas la mienne, et si je n'arrive toujours pas à aimer ce changement, au moins je le supporte, j'arrive à l'accepter.
Quoi qu'il en soit, je passe un bon moment. Jusqu'à ce que j'entende des pas. Immédiatement, je me tais. Est-ce qu'il y a vraiment quelqu'un? Est-ce que j'ai rêvé? Et surtout, est-ce qu'on m'a vue, ou entendue? Pas que beaucoup de monde me connaisse, mais j'ai tendance à redevenir très vite très prudente dès que je me sens un tant soit peu en danger.

Sa va faire un petit quart d'heure que je suis sortit de chez moi. Je n'est pas manqué d'acheter tous les exemplaires de journaux parus ce matin même et je me balade dans le Jardin des Tuileries, cinq journaux sous le bras. Voilà une manière bien élégante pour un homme de se balader ainsi dans un lieux public mais je suis là pour tout autre chose.

Alors que je marche sur les petits sentiers de graviers qui parcourent le parc en long et en large, j'essaye de réfléchir sur ce que j'ai put voir ou entendre ces jours derniers. Des meurtres à la tournure bizarre, des fièvres qui se propagent ou encore une histoire parut hier seulement aux informations du soir: « Une femme more violemment son mari avant de quitter le domicile familiale »...

C'est ce genre d'information que je recherche, tout ce qui peut me paraître anormal, toutes ces petites choses qui cachent beaucoup de mystères et de secrets, je suis prêt à les résoudre pour démanteler toutes ces énigmes.

Alors, je continue ma marche, percevant des murmures qui vinrent rencontrer mes timpants au même rytme que le faible vent venait s'abattre sur moi. Une voie de femme à la première impression mais celle si cessa alors que je m'approchais un peut plus.
Encore un nouveau tour de mon imagination infernale, depuis que je me suis lancé à la poursuite d'histoires sortant de l'ordinaire et de mystères en tout genre, je n'arrête pas de me sentir persécuter et tout commence par ses rêves mystérieux qui me hantent toutes les nuits.

Alors que je continue de réfléchir à la raison pour laquelle je me suis lancé dans cette carrière, je prend place sur un banc encore frais à cause de la nuit fraîche précédente puis je pose tous les journaux sur mes genoux. Je n'avais même pas remarqué la présence de cette femme non loin derrière moi à coté d'un arbre, sur le sol. Mais bon, quand mon esprit était occupé par autre chose, il m'arrivait de ne pas voir l'essentiel...

Nombre de messages : 55 Age : 32 Race : hybride Date d'inscription : 31/08/2007

Je n'ai pas rêvé, il y a bien quelqu'un. D'ailleurs, ce quelqu'un s'assied tout près de moi, sur le banc qui ne doit être qu'à un mètre de l'arbre au pied duquel je suis. Heureusement, je ne crois pas qu'il m'ait vue ni entendue étant donné son attitude. Bon. Je fais quoi, moi maintenant? Je ne peux pas continuer à lire, pas à voix haute en tout cas. Et rester ici ne me plait pas trop. Je n'aime pas trop rester aussi près d'inconnus, et surtout, je me demande ce qu'il pourrait bien penser si je restais là et qu'il me remarquait une demi-heure plus tard, juste derrière lui. Il trouverait ça étrange, c'est certain, mais trouverait-il moins étrange de me voir sortir maintenant de sous cet arbre? Je n'en sais rien. Et à vrai dire, toutes ces questions commencent à m'énerver. Je ne compte pas rester là des heures, et maintenant que je ne peux plus lire, je m'ennuie.
Je décide donc de sortir de là. Il trouvera ça étrange, ça tombe bien, je le suis. Et puis, il est occupé avec ses journaux, peut-être qu'il ne me remarquera pas. Je me lève donc doucement, en faisant le moins de bruit possible, et sors discrètement de ma cachette.
En tout cas, je suis discrète quelques secondes, jusqu'à ce que je me prenne les pieds dans une des racines de l'arbre et perdre l'équilibre, réussisant à me prendre le banc. Magnifique. Là, je crois qu'il n'a pu que me remarquer. Bon. C'est pas la fin du monde, c'est pas parce que j'ai l'air bizarre comme ça qu'il va tout de suite deviner que je suis une hybride. C'est pas si courant que ça quand même... en tout cas je crois.
Je souris et affiche une expression d'excuse, en espérant qu'il comprendra, parce que je ne peux pas lui faire d'excuse de vive voix, étant sensée être muette.

Je continue ma paisible et calme lecture, loin de toute l'agitation des rues de Paris quoi que l'on entend parfois des véhicule passer mais bon, le fait de se trouver dans un endroit tel que celui si est pour moi un réel soulagement.

Je fait une pause entre deux petites annonces d'un journal que je venais d'entamer et je pense à mon appartement, non loin de l'endroit où je me trouve actuellement. Mais le pire dans tout sa c'est que mon apartement ressemble plus à un dépotoir qu'autre chose, il faudrait vraiment que je me mette un jour à tout ranger.
Et alors que je reprend ma lecture, je suis surpris par le bruit d'un pas non loin derrière moi mais c'est trop tard, la lecture étant trop captivante je ne peut m'empêcher de continuer à lire ces quelques lignes d'un article qui parle d'économie tout en mimant avec mes lèvres les mots que je lit jusqu'à ce que...

Un bruit juste derrière moi, je me lève brusquement faisant tomber tous les journaux sur le sol. Certains tombent dans une flaque d'eau et devinrent tout de suite illisible mais je me retourne lentement pour finalement voir une femme qui venait de percuter le banc. Plus par instint qu'autre chose, je contourne le banc et me rapproche d'elle et tout en l'empoignant par l'avant bras, je l'aide à se redresser.

« Tout va pour le mieux ?! »

Je la regarde et je réalise alors qu'elle était là depuis le début mais... je ne l'est pas vu en arrivant, quoi de plus étrange, c'est vraiment frustrant...
Et alors qu'elle finit par se redresser, je relâche son avant bras sans me soucier une seule seconde de ce qui se trouvait sur les paumes de main de cette femmes.

« J'espère que vous ne vous êtes pas blessé en tombant ! »

Je la regarde de haut en bas afin de voir si je ne voit pas d'éventuelle blessure mais apparemment, elle s'en est plutôt bien sortie...

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Au moment où j'entre en collision avec le banc, l'homme assis dessus se lève, faisant tomber ses journaux, quelques uns atterrissant dans une flaque d'eau. Dommage pour lui, mais bon, il en a d'autres.
Etrange qu'il en ait autant d'ailleurs... un ou deux suffisent à se tenir au courant des actualités, non? Personnellement, je me contente des journaux gratuits et du vingt heures, et j'ai l'impression que ça me suffit. En tout cas, il ne semble pas se préoccuper de ses articles trempés et me prend l'avant-bras pour m'aider à me redresser.
J'ai un geste de recul le temps d'une seconde puis me détend. Il me demande si tout va bien, je lui réponds par un hochement de tête affirmatif, toujours en souriant. Lorsqu'il finit par lâcher mon avant-bras, je retiens un soupir de soulagement. Je sais que je ne suis pas en danger, qu'il n'a aucune raison d'aller voir ce qui se cache sous mes mitaines, mais je préfère quand même qu'il ne se tienne pas trop près.
Il me dit ensuite qu'il espère que je ne me suis pas fait mal en tombant, et je lui réponds par un autre signe de tête, négatif cette fois. Je lui dirai bien que tout va bien en langage des signes, mais je suis certaine qu'il ne le parle pas. C'est le cas de la plupart des gens, c'est d'ailleurs ce qui rend l'intégration des sourds-muets difficile... mais là, ce n'est pas vraiment le sujet.
Un peu gênée d'être là sans bouger, je m'avance, ramasse les journaux qu'il a fait tomber et lui tend ceux qui sont secs, posant ceux qui sont mouillés sur le banc.
Je le regarde avec un air d'excuse, encore une fois, regrettant pour la énième fois de ne pas pouvoir lui dire tout simplement que je suis désolée de l'avoir bousculé.
Je me demande s'il a deviné que j'étais muette, ou s'il trouve étrange le fait que je ne lui ai toujours pas adressé la parole. En général, les gens me posent la question au bout de quelques minutes, ou bien ils sont gênés et n'osent pas, préférant rester dans lignorance, à moins bien sûr qu'ils soient assez sûr d'eux pour ne pas douter de mon mutisme...
J'attends de voir dans quelle catégorie il sera, retenant un sourire presque amer à l'idée que ce genre de rencontres et ce genre d'attentes soient les seules choses qui fassent un tant soit peu palpiter ma plate et morne existence, ça et la crainte de ne pas pouvoir payer mon loyer à chaque fin de mois.
Hum. Je dérive là, ce n'est pas vraiment le moment de me mettre à me plaindre, encore, sur mon triste sort. Mon regard, qui s'était un instant perdu dans le vague, retourne sur l'homme en face de moi, et je me reconcentre sur ce qui se passe ici et mantenant.

Un peut étonné de voir le mouvement de recul de la femme, je continue de la fixer afin de mieux pouvoir la dévisager. C'est devenu une habitude, même presque un rituelle que de regarder les personnes que je croise avec assistance afin d'apprendre à mieux les connaître.
Plus d'une fois je suis tombé sur des personnes assez impressionnantes mais qui en réalité n'ont rien d'anormal à cacher.

Alors d'un simple geste de la main, je prend les journaux non humides qu'elle me tend mais je les laisses vite tomber sur le banc alors que je voit mon petit calepin posé sur le sol juste à coté de l'un des pieds de la femme.
C'est ce même petit calepin qui renferme toutes les informations que j'ai put récolter sur les hybrides et les vampires tout au long de ma carrière et je tient à ce qu'aucune de ces informations ne soient révélées...
Je me baisse en vitesse, manquant de tomber sur le sol puis j'attrape celui si de mes deux mains et aussitôt, je le range dans l'une des poches de mon jean tout en adressant un petit sourire à la femme afin de la rassurer.

Mais dans l'ignorance, je me recul de quelques pas pour passer devant le banc afin de prendre à nouveaux les journaux posés sur celui si, sans même me douter à une seule seconde que l'une des pages de mon calepin était coincée sous l'une des chaussures de la femme.
Sur cette page figurait toutes les particularités que pouvait avoir les hybrides au niveau morphologiques et j'avais également prix quelques notes afin d'apprendre à mieux les connaître sans pour autant paraître à leur yeux pour une menace, loin de là...

Je m'avance à nouveau sur la droite afin de laisser tomber les journaux dans le fond d'une poubelle puis me retournant vers la femme, je la regarde droit dans les yeux avant d'ajouter.

« Écoutez, ne restons pas ici, je vous invite à prendre un café si vous le voulez, qu'en dites vous ?! »

Déjà que celle si n'a pas répondue à ma première question, j'attends déjà la réponse à ma deuxième question avec insistance.
Il commence à pleuvoir et le vent se lève, rien de très bon et je n'est pas l'envie d'attraper un rhume, alors j'attends... j'attends que cette femme réponde à ma proposition même si je ne connais pas encore son nom...

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Il prend les journaux que je lui tends et les pose sur le banc sans y prêter attention. Bon, c'est plutôt positif, au moins il ne fait pas partie de ces gens stressés et stressant par la même occasion qui m'auraient crié dessus pendant cinq minutes pour cette maladresse. Je sais, j'exagère un peu, c'est une manie que je n'arrive pas à chasser. Plus par manque de volonté qu'autre chose d'ailleurs. Mais bon, ça, ça n'a pas d'importance.

Lui par contre, il semble remarquer quelque chose. Suivant son regard, je vois un callepin à mes pieds, et amorce un geste pour le ramasser. Seulement, il est plus rapide que moi et le récupère pour le ranger dans sa poche, précipitament. Etrange. Je lui jette un regard intrigué auquel il répond par un sourire. Mouais. C'est pas ça qui va m'empêcher de me poser des questions. Je reprends une expression la moins interrogative possible, mais intérieurement, je reste perplexe. C'est quoi ce carnet? Pourquoi tient-il tellement à me le cacher?
C'est vrai, ça ne me regarde pas et je ne devrais pas m'en mêler, mais ça m'intrigue, je ne peux pas l'empêcher. Je lui demanderais bien, mais d'une : je suis sensée être muette, et de deux : étant donné sa réaction en voyant le callepin à terre, je pense pas qu'il me répondrait.

Après son geste des plus bizarre, il se recule et jette tout simplement ses journaux à la poubelle. C'était bien la peine que je le les lui ramasse... quoique si, ils sont toujours mieux à la poubelle que par terre.
Ensuite, il m'invite à prendre un café. Je souris immédiatement. Ca fait tellement longtemps... faut dire aussi qu'en général, je ne fais rien pour. J'évite les contacts au maximum, j'ai simplement peur qu'on découvre mon secret. Pourtant j'accepte, d'un hochement de tête. Comme je l'ai dit, ça fait longtemps, et c'est vrai que ça me manque.
Soudain, je me rend compte que je ne lui ai pas fait savoir que je suis muette. Il doit se demander pourquoi je n'ai pas ouvert la bouche, à moins qu'il ait déjà compris. Dans le doute, je fais un signe vers moi, pour me désigner, puis pose un doigt sur mes lèvres, à la manière dont on dit "chut". Je sais, ce n'est pas ainsi qu'on le dit, mais je trouve que c'est plus clair ainsi, pour ceux qui ne parlent pas la langue des signes.

J'avance d'un pas vers lui, et découvre alors une feuille de papier jusque là sous mon pied. Elle vient probablement de son callepin. Cette fois, je suis la plus rapide, la feuille est dans ma main en moins d'une seconde. Je ne m'attendais pas à ça. Des informations de toutes sortes sur mes pairs, leurs caractéristiques, certaines choses que j'ignore moi-même, faute d'avoir fait beaucoup de recherches sur ce sujet.
Je pâlis immédiatement, et une vague de peur me traverse sans aucune discrétion. Est-ce qu'il se doute de ce que je suis? Est-ce pour ça qu'il m'a invitée à prendre un café? Et, plus important, pourquoi fait-il ça? Comment dois-je réagir? J'ai juste envie de m'enfuir en courant, mais je ne peux pas, j'ai trop de questions en tête. Et de toute façon je suis incapable de bouger. Le seul mouvement que je fais est de relever la tête, le fixant de mes yeux écarquillés.

Enfin je comprend l'absence de parole de la part de la femme car celle si me fait comprendre son handicap par un geste de la main.
Naturellement, je lui sourit, sa ne me dérange pas du tout et ce n'est pas la première fois que je croise une personne à l'impossibilité de prononcer le moindre song...

Et alors que je lui tourne le dos, je ne remarque pas la page manquante de mon calepin qui est désormais en possession de la femme mais je n'est pour le moment pas la tête à sa, je l'est invité à prendre un café et je tient à respecter mon engagement.
Alors après avoir fait quelques pas vers la sortie du jardin, je me retourne et découvre à nouveau la femme qui a vraiment l'air d'avoir une salle mine par rapport au moment où je les rencontrée.

Alors je continue de la fixer droit dans les yeux avant d'ajouter tout en lui souriant.

« Je connait un petit restaurant non loin d'ici, l'on y est fait les meilleurs cafés de toute la ville croyez moi ! »

Je n'attend même pas sa réponse que déjà je m'avance à nouveau de quelques pas vers elle afin de l'inviter à me rejoindre et une fois ceci fait, dans le silence le plus profond nous avançons vers la sortie du jardin où je la conduit dans un restaurant non loin de là.
J'espère sincèrement que cela ne la dérange pas mais cette rencontre un peut brutale m'a donnée la soudaine envie d'en savoir un peut plus sur elle, rien que le contact de ma main sur mon avant-bras m'a donné une sensation étrange... une sensation de froideur comme si le sang qui coulait dans ses veines était glacé...
J'ai bien envie de prendre quelques notes dans mon calepin mais je ne peut pas prendre le risque de dévoiler l'existence de celui ci, c'est bien trop risqué pour moi et pour elle. Des mois et des mois de recherches intensives m'ont menés à des conclusion que même des experts n'ont pas encore résolus et c'est la raison pour laquelle je doit protéger ces informations.

J'espère seulement un jour pouvoir faire la rencontre d'une créature mi humaine mi animal que l'on nomme hybride ou simplement faire la rencontre d'un vampire chose qui est déjà moi rassurante pour moi, je n'est pas encore trouvé le moyen de me défendre si l'occasion se présentait...

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