Lexia Kay

Identité

Prénom et Nom
On m’appelle Lexia Kay

Surnoms
Mes rares proches m’appellent Lex' ou Lexy.

Date de naissance
21 Juin 1988

Sexe
Les docteurs disent que je suis une femme.

Âge
J’ai 19 ans

Physique

Description générale
Faut-il vraiment en parler ? Franchement, parler de mon physique et me regarder dans le miroir n’est pas ma passion, mais soit, je vais me décrire un peu.
Alors, commençons par une vue globale de mon (agréable) physique. Je suis fine, de taille moyenne. C’est déjà ça. J’ai de longues et fines jambes qui se prêtent parfaitement aux minijupes, au bas moulants. Mes hanches sont fines, mon buste aussi, mais cela ne veux pas dire que je suis aussi plate qu’une planche à repasser ! Attention, ne vous méprenez pas ! J’ai une jolie poitrine qui sait attiser le regard des hommes sans être démesurée (eh oh, vous voulez quand même pas mes mensurations ?!). Des bras fins, poignets frêles, déjà brisés plusieurs fois à la suite d’accident de ski, de tennis où autres, mais bref passons…
J’ai un visage ovale presque angélique avec mes yeux bleu clair, mes traits bien dessinés, mes lèvres fines et qui savent se faire tentatrices. Je vais m’attarder un peu sur mon regard, si vous permettez. Mon regard est le reflet de mon âme (non, cette phrase n’est pas de moi !) et mon arme : je sais les faire aussi tranchant qu’une lame parfaitement aiguisée, envoûtant et ce sans une once de maquillage. Je sais faire transparaître parfaitement tous mes sentiments au travers de mes iris bleu, tant la colère que l’amour. Et si jamais je décide de « capturer » quelqu’un de mon regard, j’y arrive sans grande difficulté. Mais n’étant pas une péta*se dragueuse, je n’use pas de mes charmes ! Au contraire, je fuis plutôt ces hommes dont je me sens si… différente.
Ce visage si angélique, selon des hommes que j’ai pu fréquenter, se mêle à une tignasse de cheveux blonds ondulés et secs, me donnant cet air sauvage. D’ailleurs on me disait bien que je n’avais pas un charme innocent, mais plutôt une aura sauvage, qui savait plaire.
J’ai une voix douce, plutôt rauque et agréable à écouter. Comme mes yeux, elle peut se faire envoûtante mais aussi violente. Bon, j’arrête ici pour ma voix sinon je vais commencer à délirer sérieusement !
Vous me verriez dans la rue, mon allure, mon apparence, vous penseriez tout d’abord que je suis une marginale, une fille de la nature, bohème… Pas tant que ça en fait…

Taille
1 mètre 69

Corpulence
Bah écoutez, je pèse quelque quarante cinq kilos, je suis un réel poids plume !

Signe particulier
J’ai un tatouage sur l’omoplate, une salamandre.

Caractère

Description générale
On dit de moi que je suis spéciale. Envoûtante par le contraste que j’offre : à la fois proche des gens, à la fois distante. Je suis sentimentale, rêve toujours un peu d’amour, mais suis aussi insaisissable. J’apparais secrète, mystérieuse, puis emportée, passionnée, capable d’avancer vers les autres puis de reculer aussitôt.
Je suis réservée, garde la plupart de mes sentiments, de mes craintes pour moi, j’intériorise tout et suis de tendance autodestructrice. Je garde toute ma haine pour moi, tout comme la violence, ne les montre jamais. Mais quand la goutte d’eau qui fait déborder le vase tombe, je deviens folle, les reflets de ma folie passée reprennent le dessus, je hurle, me détruit. Mon sang coule, les plaies saignent abondement. Lors des colères les plus douces, je détruis toute ma décoration, bon prétexte pour aller acheter des nouveaux meubles ! Mais ça, personne ne le voit.
Pour moi, l’indépendance vaut tout l’or du monde, même plus. Je suis légèrement claustrophobe, haïssant la sensation d’être enfermée, souvenir amer laissé par l’hôpital psychiatrique. Je voue une certaine passion au sang que je vois couler de mes poignets, de mon corps.
J’adore l’art, la photographie. Je me permets d’emprisonner les gens dans les photos comme on a voulu m’enfermer plus tôt, je veux préserver par la photo les rares beautés que portent ce monde, avoir tous les beaux endroits que j’ai visité. J’aime aussi la peinture et la sculpture, ainsi je peux créer mes univers, je suis dans ma bulle. Dans ces moments-là, on dit que j’ai l’air infiniment heureuse, mais paisible. Les moments durant lesquels je façonne l’argile, manie les crayons sont des moments durant lesquels je ne pense qu’à produire une œuvre, une œuvre belle et qui marquera la terre de ma présence, je ne pense plus à rien, completement noyée dans ma bulle, sauvage. Tout ce qui est beau me fascine. Je suis prête à recommencer des milliers de fois une seule chose pour atteindre la perfection.

Je garde mon passé secret et suis fermée au regard des autres, insondable. L’idée que les gens sachent ce que j’ai fait, que je suis folle à lier comme ma mère me terrifie, hantée par l’absurde persuasion que j’irai une fois de plus dans un hôpital psychiatrique.
Je suis toujours mal à l’aise, craintive avec la gente masculine. Vous me direz que je suis ainsi avec tout le monde, mais avec les hommes, je me sens encore plus mal à l’aise. J’ai toujours sur le cœur cette douleur que j’ai ressentie quand je me suis fait plaquer par mon premier et dernier petit ami, craint de m’attacher à quelqu’un qui ne m’aimerait pas, ai peur que les sentiments de l’autre ne soient pas aussi forts que les miens. La peur, la peur et la peur. C’est elle qui dicte ma vie aujourd’hui. J’ai peur qu’on découvre que je suis folle, j’ai peur de ma colère, j’ai peur de ne pas venger Karen un jour…
La vengeance. Ma source de force, ce qui me permet d’avancer. Je me suis jurée de venger Karen, de tuer Sara, peut importe le nom qu’elle a aujourd’hui. Je la vengerai.

Tic
Aucun que je sache.

État

Statut social
Je suis une étudiante en photographie et plastique (sculpture et dessin), excellente élève. La photographie, c’est ma passion, grâce à ça, je peux enfermer les gens comme on a voulu m’enfermer et immortaliser les rares beautés que l’on trouve en ce monde. La peinture me permet de créer le monde dont je rêve, pour rêver, m’y enfermer et oublier la noirceur de ce monde.

Statut civil
Célibataire endurcie

Passé

Sa vie
28 Mai 1988, dans un petit village du Sud. Une enfant vient de naître et hurle au ciel son arrivée sur cette foutue terre. C’était moi. Je suis née de l’union de Sven Wenthorn et Lena Kay. Mais quelques semaines, deux en fait, après mon arrivée, ma mère s’est tirée et pour vivre telle une bohème. Elle était mentalement affaiblie, folle et utopique. Mon père l’a aimé car elle était belle, très belle. Mais il ne lui pardonna pas de nous avoir laissés, lui laissant un gosse de huit ans et une autre de 2 semaines dans les bras. Il voulait s’éclater, courir le jupon et non devenir un Papa affairé. Alors le cercle infernal des nounous commença. J’en ai eu tellement, une Polonaise, quatre Française, une Américaine au pair, une Japonaise, deux Congolaises, trois Belges. Et toutes passèrent dans le lit de mon Père.
Je vivais dans cette famille de fous, mon père me répétait sans cesse que je finirais aussi timbrée que ma mère. Mon frère, lui, avait fait de moi son souffre-douleur. Je n’attendais qu’une chose, rentrer dans ma chambre le soir et dormir. Je souhaitais même ne pas me réveiller. J’avais cinq ans ! Ignorant ce qu’était la mort, donc le suicide, c’est cette ignorance qui me sauva, sinon je me serait jetée dans la mer et me serait laissée avaler par les flots.

Puis vint cette Russe, Miss Ana. Magnifique, intelligente et nymphomane sur les bords, mon père l’adora tout de suite. Mon père et elle sortirent ensemble, puis se marièrent. Rapidement, une enfant naquit de leur union : Karen.
Quand j’ai eu cinq ans, Karen est née. Karen, la petite dernière, fille d’Ana. Elle et moi nous adorions, je pouvais passer des heures à regarder l’enfant dormir dans son berceau, j’adorais la voir essayer de prendre mes cheveux qui tombaient au dessus de ses yeux. Karen était magnifique, adorable. Elle a grandit rapidement, est devenue une enfant adorable qui s’est peu à peu désintéressée de sa grande sœur. Elle a commencé à jouer avec les gens de son âge, à rigoler sans moi, on devenait des sœurs normales, à s’engueuler régulièrement, à se piquer nos jouets mutuellement.

A cette période, Ana commença à venir dans ma chambre me répéter que j’étais inutile, folle à lier. Elle me disait qu’un jour j’allais aimer, puis souffrir et vouloir mourir « Mais c’est normal, tu es folle, laide et grosse… ». Elle me disait que j’étais la plus grande menteuse, manipulatrice. Je ne sais pas pourquoi elle me voue cette haine farouche. Elle me disait sans cesse que je méritais de mourir sous les roues d’un camion transportant les plus lourdes des cargaisons. Elle me racontait les pires histoires qu’on pouvait raconter à une enfant, me racontait quelles étaient les nuits passionnées qu’elle passait avec mon père… J’en hurle de frayeur aujourd’hui encore, après les cauchemars où elle réapparaît.

Au collège, à l’âge de quinze ans, je suis tombée folle amoureuse d’un garçon gentil, beau comme un dieu, attentionné et amusant. On est sortis ensemble pendant quelques mois puis m’a laissée tomber. Je me suis souvenue des prédictions d’Ana et ai sombré. J’ai commencé à arrêter de manger, ai perdu du poids, croyant devenir plus belle. Au lieu de ça, je devenais anorexique. Je souffrais intérieurement et ai ensuite commencé à me taillader. J’étais persuadée que j’étais la fautive de tout, que c’était de ma faute si personne ne m’aimait, si j’étais « grosse ». Le sang coulait régulièrement dans ma chambre. Puis j’ai commencé à me droguer, me piquer. J’avais seize ans.
On s’en rendit ensuite compte. On s’alarma, ne souhaitant pas que je meure pour que la faute retombe sur Sven et Ana. Je devenais aussi folle que ma mère, dangereuse.
Sous prétexte que je pouvais devenir dangereuse pour Karen, on m’envoya dans un hôpital psychiatrique, y suis restée quelques longues semaines. Je me jetais partout, par terre, contre les murs et les meubles, je délirais…
Vers dix-sept ans, j’ai quitté l’hôpital, un peu guérie, mais pas completement. Je savais contrôler mes crises, je les cachais pour sortir d’ici.

J’arrivais chez moi, on m’accueillit avec méfiance. J’avais reprit des kilos, je semblais plus calme, paisible et saine. J’étais presque normale mais au fond, n’avait jamais arrêté totalement la drogue ni l’automutilation. Quelques mois plus tard, une femme assez étrange s’installa dans mon village. Elle était très belle, j’ai cru retomber dans la spirale de l’anorexie devant sa beauté, voulant devenir aussi belle qu’elle. Mais elle était bizarre, on la voyait souvent le soir, rôder dans les rues. Quelques rares fois durant la journée. Elle paraissait très riche vu la maison qu’elle avait acheté : un ancien manoir surplombant notre village. Elle était secrète, silencieuse. Elle se faisait appeler Sara Benello et se disait Italienne.

Je lui vouais presque une passion. Elle et moi avons commencé à nouer des relations, elle se comportait étrangement, regardant parfois fixement mon cou, stressant dès que je me blessais. Quand j’étais blessée et que le sang avait coulé, elle refusait de me voir, que ce soit automutilation (à cause de mon père) ou à cause de blessure. Elle était bizarre, mais je ne m’en formalisais pas. Elle devint ma première vraie amie, mais je savais que quelque chose était étrange chez elle. Ne m’en formalisant pas, on se voyait souvent.
Je lui ai ensuite fait connaître ma sœur. Tout ça dura une longue année.

Une année après l’installation de Sara, le 3 Juin 2007, j’ai entendu du bruit dans la chambre de ma sœur. Comme un cri étouffé. Inquiète, je suis montée dans sa chambre. Là, j’ai vu une silhouette penchée sur le lit de ma sœur. Karen était allongée et semblait prise de spasmes. J’ai eu peur et ai poussé l’agresseur de ma sœur. A la lumière de la nuit, j’ai reconnu Sara. Elle avait les lèvres baignées de sang. Un instant plus tard, elle avait disparu en disant un dernier mot « Je suis vengée ».

Karen était morte. Sara avait disparu de la circulation une heure plus tard, plus rien n’était dans le manoir qu’elle habitait. Comme si elle n’avait jamais existé.
Ana et mon père semblèrent m’accuser de sa mort. J’ai retombé dans l’automutilation un long mois puis ai découvert que j’avais un but dans la vie : retrouver Sara et la tuer, comme elle avait tué Karen. Quelques temps, j’ai comprit que Sara était un vampire. J’y croyais à moitié, mais m’étais résolue à cette vérité si étonnante. J’ai changé de nom. De Alexandra je suis passé à Lexia et ai prit le nom de ma mère : Kay.

Une longue traque à commencé, j’allais partout où des morts étranges survenaient puis ai vu à un journal télévisé une ruelle de Paris dans laquelle un corps avait été retrouvé égorgé. Comme Karen. J’ai eu la certitude que Sara s’y trouvait et y ai emménagé. Je me suis inscrite à une Ecole d’Art.

Famille

Parents ou tuteurs
Ma mère, je ne l’ai jamais connue. Illustre inconnue ayant quitté la maison quelques semaines après ma naissance, elle a tout plaqué pour vivre une vie d’errance. Quand j’ai voulu savoir ce qu’elle était devenue, mon père m’a dit qu’elle avait fini dans un hôpital psychiatrique. La seule chose que j’ai d’elle, c’est une vieille photo. Elle était belle, jeune, les cheveux noirs et avait exactement les mêmes yeux que moi. Toute fine, c’est sûrement d’elle que je tiens ma morphologie frêle. Un prénom à donner à cette image : Lena Kay. Je n’ai jamais rien su d’autre sur ma mère.

Mon père se nomme Sven Wenthorn, riche PDG et business man affairé. Quelque chose à ne pas oublier : coureur de jupon invétéré. Tout ce qui a une jupe, des talons et une plastique attirante est bon pour lui. On n’entretient pas de bonnes relations, lui et moi. Il ne pense qu’à l’argent et aux femmes. Depuis cinq ans il est marié à la même nymphomane, mon ancienne prof de primaire. Lui et elle forment un couple parfait. Sven est un bel homme, plaît aux femmes, sait jouer avec les mots, mais aussi un homme d’affaire plongé à fond dans le désir d’encaisser un maximum de fric. Ana est une ressortissante Russe affairée par la beauté de son corps. Elle s’offre toutes les opérations esthétiques (avec l’argent de Sven) pour toujours plaire à son époux. Blonde, fine et élancée, c’est la femme dont rêvait mon père avant de la connaître. Ce qu’elle ignorait, pauvre Ana, c’était que mon père allait tout de même voir ailleurs, ne supportant pas de ne toucher qu’une seule femme. J’ai vraiment des « parents » pervers, pas étonnant que je sois psychologiquement détraquée.

Frères et soeurs
J’ai un frère aîné : Daniel Wenthorn. De huit ans mon aîné, lui et moi nous haïssons de toutes nos forces. Nos relations sont extrêmement violentes, les paroles échangées crues, nos regards assassins. A vingt-sept ans, c’est un type qui a une grande beauté, c’est indéniable. Il est lui aussi le fils de Lena et l’a plus connu que moi, mais dit qu’elle était cruelle et stupide. Mais je sais qu’au fond, il l’adorait et ne pardonne tout simplement pas le fait qu’elle nous ait abandonnés. La raison our laquelle on se hait ? Lui comme moi n’en savons rien. C’est de naissance, il m’a toujours détesté, peut-être parce qu’il n’avait plus l’attention de Lena pour lui seul… Enfin bref, aujourd’hui Daniel est marié, trois enfants de 2, 4 et 1 ans. Il travaille dans une ambassade à l’étranger, au Mali. Il y a emménagé il y a quatre ans avec sa conjointe et y vivent heureux. Je suis heureuse aussi qu’il soit dans ce pays, ainsi on ne se voit plus. J’avais aussi une sœur. Avait parce qu’elle est morte aujourd’hui. Elle s’appelait Karen. Elle avait 5 ans de moins que moi. Aujourd’hui, elle devrait avoir 14 ans. Karen était une fille adorable, la fille qu’a eu mon père avec une de mes profs de primaire. A sa naissance, mon père l’a prit en charge et a continué à voir sa maîtresse. C’est avec elle qu’il est aujourd’hui, mais ils n’ont pas d’enfants : hors de questions qu’ils doivent partager leur temps avec un bambin, Karen leur a suffit. Karen était une fille adorable, qui disait tout le temps vouloir devenir « sauveuse d’animaux en Afrique ». Elle connaissait vaguement Daniel qui semblait la haïr tout autant que moi. A l’école, c’était une fille brillante et studieuse, je l’aidais parfois à faire ses devoirs. Mais il y a un an, elle a été tuée. Le début des descentes aux enfers pour moi.

Autres fréquentations importantes
Mon chat, You. Anciennement, Sara Benello.

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir
Trouver la meurtrière de sa sœur.

Possessions particulières
J'accumule les petits boulots. Je pose pour des artistes , je suis serveuse, je travaille dans un cinéma... Tout pour avoir un max de frix.

Vous

Votre nom ou surnom Appelez moi Bond, James Bond.

Votre âge Je vous demande votre poids moi ? J’aurai quinze ans le 28
Mai^^

Comment avez-vous connu le forum ? Hmmm, question intéressante, un ami m’a passé l’adresse.

Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ? Ashlee
Simpson.

Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ?
Négatif, mais si je trouve quelqu’un à mêler à mon histoire, je le ferai^^

Avez-vous hâte que je vous valide ? Ce serait mentir que de dire non !

La fiche est-elle trop longue ?
C’est acceptable ! (mon dieu je délire « c’est acceptable » !! Franchement, fiche est parfaite.

Avez-vous une critique à formuler sur le forum ?
Nop…

[Désolée pour le double post, pas vraiment le choix si je voulais mettre la fiche en entier !]

Nombre de messages : 480 Race : Hybride Date d'inscription : 27/07/2007

Une fichheeuuh longue !! 2006

Ça faisait longtemps :P

Très belle fiche, sérieux :) J'aime beaucoup l'histoire de ton personnage et tu as également une belle plume :) 2017

Je te valide :)

Sur ce, bon jeu ma grande :)

Bienvenue. peut-être que le forum n'est pas si mort que ça, finalement...

Wow Bingo XD Belle phrase pour inciter un nouveau à rester ça XD

M'enfin bon ... oui on a une bonne période d'inactivité derrière nous, mais c'Est en amenant de la viande fraîche que ça va se régler. :)

Merci pour l'accueil !

Bienvenue ma petite chérie ! <3

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