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 Sir Lan De Varen

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Sir Lan De Varen

Sir Lan De Varen


Nombre de messages : 132
Race : Vampire
Date d'inscription : 22/06/2007

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MessageSujet: Sir Lan De Varen   Sir Lan De Varen Icon_minitimeVen 22 Juin - 21:37

Identité

Prénom et Nom

Sir Lan De Varen

Surnoms

Une personnalité telle que moi ne peut tolérer quelques termes soi-disant affectueux, comprenez-le bien.

Date de naissance

Je suis né en l’an 1500, l’époque de Leonardo Da Vinci et de ses merveilleuses peintures ainsi que le prodigieux Michel Ange.

Sexe

Mon sexe prétend être masculin, ai-je l’air d’une femme ? Je ne crois pas. Mes traits sont plus…Oh mais, je m’éloigne du sujet initial…Mille pardons.

Âge

D’après mes calculs, j’aurais près de 507 ans. N’est-ce pas vieux ? Par chance que je suis éternel, je n’ose imaginer mon corps flétri, rabougri, courbé et desséché…Quelle image peu distrayante, ne trouvez-vous pas ?

Physique

Description générale

L’apparence…Dois-je réellement perdre mon précieux temps à me décrire ? Oh et puis, pour le moment je n’ai rien à faire, je commence donc.
Contrairement aux autres Vampires, je ne possède pas un visage éblouissant, jeune et lisse étant donné que je fus transformé dans les alentours de la quarantaine, à l’époque. Remarquez, j’apprécie, je parais bien plus mature que les autres écervelés appelés mes compères. Donc, mon visage est marqué, mes traits sont tirés, sculptés durement et on y lit aisément que j’ai du vécu, que j’ai enduré mille tourments, que j’ai un sombre et exténuant passé qui s’est imprégné sur ma peau blafarde. Auparavant, lors de mes amères années humaines, j’avais le teint halé par le soleil, plus maintenant, ma vue m’interdit toute sortie éclairée. Quel dommage, moi qui aimais tant admirer le soleil levant, cette sphère de flammes chatoyante qui brillait à l’horizon, promesse de chaleur éternelle. Elle m’aveugle cruellement depuis bientôt 508 ans. Dieu du Ciel, je me distance dangereusement de la description, une fois de plus. Que disais-je ? Oh oui.
Mes yeux d’un noir d’ébène et maquillés prennent la forme d’une amande, ils scintillent comme deux onyx miroitants. Une noble femme m’a dit un jour, qu’ils étaient les profondeurs de l’enfer et que l’on si perdait sans espoir de retour. Ce compliment m’arracha l’ombre d’un sourire et je lui baisai la main comme signe de remerciement à ses belles paroles.
À l’époque où je vivais réellement, mes cheveux étaient longs et ondulés, cascadant sur mon dos, dévalant sur ma poitrine avec majesté. Je les nouais avec une lanière de cuir, ce que je ne puis faire aujourd’hui. Depuis quelques années, je les entretiens à la hauteur de mes épaules et, croyez-le ou non, je les raidis avec l’une des inventions humaines. De cette façon, ils soulignent bien mieux mon visage perçant et l’effet me donne davantage l’air d’un grand personnage de l’histoire. Aussi, j’ai des lèvres légèrement charnues, pâles et souvent leur commissure droite est relevée en un sourire énigmatique. Comme tout descendant de la célèbre lignée de mes aïeuls, mon nez est long et droit, mes joues sont hautes et la terminaison de mon menton peut être qualifiée de carré. J’ai de larges épaules, un corps souple et élancé, une taille mince et élégante, ainsi que des membres considérés comme étant musculeux. Attention, je ne suis nullement un tas de muscles, cependant j’ai quelques formes fort viriles qui plaisent à mes partenaires. Oh j'oubliais, j'ai également le dos boursouflé de cicatrices.
Le Style vestimentaire que j’adopte ressemble de très près à celui que j’avais dans mon ancienne et piteuse vie. La seule différence est le cuir qui s'est ajouté dans ma garde-robe. Donc, cuir, velours, soie et satin sont mes tissus favoris. J’ai des pourpoints, lacés sur la poitrine ou sur le dos, des chemisiers blancs – l’exception, mais pas en cuir – aux manches bouffantes, des pantalons où sont suspendues des chaînes cliquetantes, des menottes rutilantes et même quelques dagues surmontées d’un pommeau serti de pierres précieuses. J’aime porter de longs manteaux fouettant mes chevilles. De plus, vous ne me verrez jamais dépouiller de tous accessoires, bijoux ou peu importe. Mes doigts luisent grâce aux nombreuses bagues, mes avant-bras sont étouffés par des bracelets de force, mon cou regorge de colliers et mes oreilles comportent plusieurs boucles d’oreilles.

Taille

J’atteins le six pieds.

Corpulence

Mince.

Signe particulier

Des cicatrices.



Caractère

Description générale

Du plus loin dont je puisse me souvenir, je fus toujours d’une nature calme, posée, réfléchie, et méditative. Jamais je n’élève le ton lorsque je parle, ma voix n’est qu’un doux murmure perceptible ou bien, lorsque je suis énervé – une fois par siècle -, ma voix grimpe d’intensité et l’on peut me surprendre criant, hurlant, gesticulant et jurant. Je sais me contrôler, je sais me tenir en bride et je m’éloigne des individus qui pourraient nuire à ma tranquillité d’esprit, m’inciter à plonger dans le courroux le plus profond. En effet, je suis rarement en colère, mais lorsque je le suis, je vous invite, non, je vous conseille de déguerpir en vitesse, de vous claquemurer dans un abri hermétique et d’y rester. En colère, je suis incapable de me dominer. En colère, je deviens un monstre sadique sans remords ni miséricorde. Fort heureusement, les insultes me laissent de glace, les affronts ne m’ébranlent point, ce sont les deux choses pour lesquelles les humains, les Vampires, les Anges et même les Hybrides exercent avec excellence. Pour effleurer une corde sensible, la personne doit m’être chère, elle doit me trahir, me tromper, voire amorcer des tentatives de meurtre ou bien mourir. Cependant, il est vrai, je peux être contrarié, irrité et agacé, mais j’essaye de le masquer sous un regard de marbre ou d’indifférence.
Je suis quelqu’un de rancunier, de possessif, d’obsessif et de sarcastique. Moquerie, ironie, raillerie sont mes facettes les plus souvent exploitées. Aussi, je suis le type de personne qui n’a qu’une seule parole. Je ne mens pas, je suis honnête, je ne triche jamais, je ne suis point lâche. Déterminé, persévérant, astucieux et soigné je suis. Brillant, cultivé, raffiné et fidèle sont peut-être mes qualités les plus appréciées. D’ailleurs, je dis toujours ma façon de penser de manière aucunement détournée. Je suis direct dans mes propos, voire parfois blessant.

J’aime l’art, ma demeure se compose de peintures datant de centaines d’années, de statues faites à même le marbre, de bibliothèques croulant sous des milliers de volumes poussiéreux et vieux, j’assiste aussi à des pièces théâtrales et à quelques représentations cinématographiques, aussi j’ai une pièce bondée de CDs et d’instrument divers. J’aime la beauté des gens, des paysages, des alentours. Mes yeux se nourrissent de tout ce qui est splendide. J’aime l’esthétique, la sensualité et les contacts charnels. Ce dernier point est mon vice. Je ne peux vivre sans frôler la chair d’autrui. J’ai continuellement besoin de ressentir la chaleur d’un être contre moi, j’ai besoin d’aimer et d’être aimé, d’embrasser et d’être embrasser, de caresser et d’être caressé. Mes pulsions incontrôlables demandent à tout moment d’être assouvies.

Je déteste les faibles gens qui se cachent derrière les grands, les conversation inutiles et fastidieuses, perdre mon temps – j’ai toujours quelque chose à faire – et la guerre. Non, je ne suis pas comme les autres Vampires qui raffolent de se battre. En bon gentilhomme que je fus élevé, j’ai appris à ne brandir le poing ou bien une arme qu’en cas d’extrême urgence, soit pour sauver ou pour se sauver, soit pour se défendre ou défendre autrui.


Tic

Un tic ? Ai-je un tic ? Celui d’enrouler quelques mèches de ma chevelure autour de mes doigts lorsque je suis pensif.

État

Statut social

Hélas, je fus un humain des plus puissants dans ma province, autrefois, mais maintenant…Je suis réduit à l’état d’âme solitaire, bravant les rues mouvementées de Paris et m’abreuvant avec peu d’entrain. Parmi les miens, je n’ai aucune renommée. Seule notre Reine, que le Diable garde son âme, détient une certaine popularité. Tiens, je change encore de sujet…

Statut civil

La pire chose qui puisse m’arriver est d’être marié à une Vampire. Présentement, je suis un mâle célibataire, mais je compte bien y remédier.



Famille

Parents ou tuteurs

Je n’ai plus de famille depuis cinq longs siècles de débauche.

Frères et soeurs

Morts et aujourd’hui apparaissant sous l’état de poussière.

Autres fréquentations importantes

Fréquentations importantes ? Nul, à mes yeux, n’est important.

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir

Je vis au jour le jour, n’ambitionnant point sur le futur. Peut-être un jour retrouver un autre Blaise.

Possessions particulières

J’ai une curieuse obsession pour les peintures de la renaissance, raison expliquant la présence d’un mini Louvre dans ma demeure et la bague de Blaise.

Pouvoir particulier

J’ai tous les pouvoirs de bases des Vampires, cependant, l’une de mes particularités est que je puis me fondre dans les choses matérielles, les traverser ou même y bloquer mes ennemis en de très rares occasions.

Vous

Votre nom ou surnom


… Vous ne le saurez jamais…

Votre âge

16 ans…

Comment avez-vous connu le forum ?

En fouillant

Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ?

Putain comme il se nomme…Je ne m’en souviens jamais…Sakurai Atsushi !!

Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ?

Nullement ! Ils sont tous morts...

Avez-vous hâte que je vous valide ?

Humm…..c’est une question piège ?

La fiche est-elle trop longue ?

Je rêve de voir la fin

Avez-vous une critique à formuler sur le forum ?

Rajoute des questions stupides la prochaine fois


Dernière édition par le Sam 23 Juin - 20:22, édité 2 fois
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Sir Lan De Varen

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MessageSujet: Re: Sir Lan De Varen   Sir Lan De Varen Icon_minitimeSam 23 Juin - 0:55

Mon histoire


Je suis le fils de Sir Willias De Varen et de Dame Orléande De Varen autrefois Orléande De Grace, tous deux provenant de nobles familles, possédant tous deux un sang pur et tous deux désapprouvant leur mariage planifié bien avant leur naissance. En plus d’une union obligatoire entre deux individus qui se méprisent ou ressentent une totale indifférence l’un envers l’autre, ils ont dû, pour cause de l’église catholique et de la parenté, concevoir une famille. Ainsi donc, une armée de poupons envahit aussitôt leur joli manoir. J’étais, bien évidemment, parmi eux. J’avais cinq frères et deux sœurs derrière moi, étant l’aîné de la famille.

Dès ma plus jeune enfance, je démontrai des talents prodigieux pour le clavecin, le chant, le dessin et l’écriture. J’avais même un professeur pour chaque matière et tous affirmaient que je détenais un potentiel exquis ce qui enchantait fortement ma mère qui aussitôt, s’empressa d’organiser des somptueuses soirées où j’étais le centre d’attention. Je lisais donc, de ma belle voix modulée, devant une foule de spectateurs, je jouais, je chantais et ce, seulement pour contempler les yeux brillant d’admiration de ma défunte mère. J’aimais l’entendre glousser de rire, l’entendre s’exclamer lorsque mon timbre enfantin grimper des octaves, l’entendre applaudir. J’étais son préféré, j’étais son adoré comme elle était ma préférée, mon adorée.

Cependant, ces soirées où l’assemblée n’avait d’yeux que pour moi enrageaient mon père et voyant que ma mère riait à gorge déployée, parfaitement heureuse en compagnie de ses convives et d’autres gentilshommes le poussèrent à détruire d’un claquement de doigt sa joie et son rire. À peine quelques semaines plus tard, Sir Willias embaucha les meilleurs enseignants qu’on puisse retrouver afin de m’éduquer comme tout enfant de mon rang doit l’être, c’est-à-dire, érudit, intelligent et cultivé. J’ai appris plusieurs langues, des dialectes, la géographie, les mathématiques, la physique, la politique. Ma mère ne tolérait la décision de mon père, lui répétant sans cesse que j’étais bien trop jeune pour être soumis à des travaux aussi complexes. À ces moments, il pouffait de rire et la foudroyait du regard, prenant un vilain plaisir à l’entendre le supplier, à l’entendre gémir et se lamenter, à la voir sombrer dans la déprime. Il voulait qu’elle souffre et n’y était jamais parvenu avant que je vienne au monde. Des huit enfants, seul moi avait de l’importance aux yeux de ma mère, les autres s’étaient liés à mon père et donc, Sir Willias m’utilisait dans ses machinations.

Je ne pouvais ignorer dans quel état était ma mère à cette époque. Je me souviens que parfois, je m’esquivais de mes cours et filais dans sa chambre, où je lui jouais un morceau de ma composition au clavecin tout en chantant. Ses yeux rayonnaient, pétillaient de plaisir. Son bonheur était enfin revenu, mais mon père saccageait ces instants paisibles en pénétrant en trombe dans la pièce, m’arrachant à mon instrument, me fessant, me battant et me sermonnant pour ma désobéissance, tout ça sous les yeux terrifiés et furieux de Dame Orléande. Suite à cela, il vint à mes cours, me surveillant et laissant dépérir ma mère dans sa chambre. Je n’aimais pas mon père, je le détestais. J’aspirais le jour où je délivrai ma mère de ce monstre et où j’enfoncerai une arme dans son ventre, saillant d’entre ses omoplates.

Lorsque j’atteignis l’âge de 13 ans, on débuta les leçons d’escrime, de tire à l’arc, la lance, le combat singulier, comment me servir adéquatement de mes dagues et l’équitation. C’est à ce moment que je sus que j’étais différent des autres garçons, que j’étais anormal. Nous avions une écurie près de la demeure, où des palefreniers vaguaient à leur occupation dont l’un d’eux avait un fils avec deux ans de plus que moi. Ce dernier se nommait Blaise Roland. Un jour où je m’entraînais, celui-ci vint à ma rencontre, pris appui sur la barrière de bois et m’observa effectuer des mouvements de pratique à l’épée. Je sentais ses yeux cuisants sur ma peau dénudée jusqu'à la taille, je le savais qui souriait, qui me mesurait. Un simple paysan se permettait de se moquer de moi, cela me déconcerta et m’irrita. Je me souviens m’être tourné vers lui et lui avoir demandé :

-Qu’y a-t-il jeune homme ? Un problème avec les chevaux ou avez-vous terminé vos tâches ? Si c’est le cas, d’autres vous attendent, j’en suis persuadé. Maintenant, je vous serai gré de disposer et de me laisser seul. Merci.

Contrairement à mes attentes, le jeune homme ne rebroussa pas chemin, plutôt il contourna la clôture et vint se planter sur ma droite, les mains sur les hanches, me fixant avec intensité et raillerie. Blaise avait les cheveux châtains et fauves, des yeux d’un bleu électrisant, une stature imposante et musculeuse et un sourire merveilleux. Il était un peu plus grand que moi.

-Je vous ai dit de…
-Je sais très bien c’que vous avez dit, m’sieur, dit-il en faisant un pas dans ma direction. Mais v’faites de fausses manœuvres avec votre épée, ce bijou ne doit pas être mal manipulé.

Il souriait. Il souriait Toujours, même lorsque sa tête roula sur le sol et que son corps chancela et s’écrasa mollement, ses lèvres souriaient.

Je voulus riposter, envoyer une réplique cinglante, mais il glissa se positionner derrière moi, déposa ses mains sur les miennes, ses bras sous les miens, son visage sur mon épaule, son souffle balayant quelques mèches de ma chevelure. Il était tout près, il me murmurait des instructions, me disant que mes coups devaient être bien plus secs, plus précis. Je ne l’écoutais pas, des frissons incontrôlables me submergeaient et une bouffée de chaleur rosit mes joues. Personne durant ma vie ne m’avait dirigé avec autant de délicatesse et de fermeté, personne n’avait été aussi proche de moi que lui. Il huma mon parfum, se pressa contre moi davantage et caressa mes doigts avec tendresse. Il fut téméraire, stupide et insensé. Tenter de séduire un autre homme, tenter de s’approcher d’un autre homme. C’était pure folie.

Folie ou pas, il sut comment mettre sa main sur moi les mois suivants cet événement et je le laissai faire avec docilité. Notre relation devint vite intime et nous fîmes des choses de nature douteuse. Nos jeux se prolongèrent durant deux ans, les deux plus belles années de ma vie, jusqu’à ce que mon frère Raphaël nous découvrit et nous dénonça. Mon père, fou de rage, me ridiculisa ouvertement devant ma mère qui m’observait, sans pleurer, sans émettre le moindre son. Sire Willias décida, sous l’élan de la folie, de nos châtier. Moi, je fus flagellé, battu, violenté et ensuite marié à une jeune femme de noble famille pour enfin voir mourir la personne que j’aimais follement. Blaise fut décapité devant mes yeux, sans procès, rien. Avant que la hache ne s’abatte, il me lança l’un de ses sourires que j’adorais, qui me faisait fondre. Puis, il mourut. Je revois encore sa tête rouler dans ma direction, son sourire et ses yeux voilés semblent s’adresser encore à moi. Je revois son corps inerte se vidant de son sang. À ce moment même, je décidai d’assassiner mon père et tout ceux qui participèrent à ce meurtre. Comme dernière punition, je fus chargé d’enterrer le corps mutilé de mon amour, mais avant de le recouvrir de terre, je m’assis face à lui et lui parla, lui affirmant que je le vengerai bien que je susse qu’il haïssant toute forme de violence. Mes yeux tombèrent sur ses belles mains robustes où luisait une bague d’or à l’un de ses doigts. Hésitant, je m’en emparai, me remémorant toutes les fois où je la pris dans mes mains, le suppliant de me la remettre comme présent. Il refusait à toutes les fois.

Les années suivantes, je ne pouvais trouver de réconfort dans les bras de ma femme que je dédaignais, qui me dégoûtait. Je me tournai donc vers les hommes, là où j’eus du plaisir et l’attention que je cherchais si désespérément. C’est dans ces alentours que je retrouvasses le goût de l’art avec l’un de mes amants. Je me fis une collection impressionnante qui ravissait ma mère, collection que je possède encore aujourd’hui. Dans les dernières années de ma vie humaine, je connus une deuxième fureur, un deuxième désespoir et une deuxième douleur que nul ne saurait décrire.

Ma mère fut froidement tuée par mon père. Celui-ci la soupçonnait de relations extra conjugales, il la fit épier et la découvrit dans la couche d’un autre homme. Blaise et ma mère, morts, à cause de mon père. La rage que je ressentis à ce moment-là me fit commettre la plus belle erreur de ma vie. Je fis la connaissance d’un homme séduisant qui était Vampire et je le sommai de me mordre afin que je devienne comme lui. Ma haine me permit de survivre et suite à cela, m’habituant à mes nouveaux dons, à ma puissance, j’allai tuer mon père et ma famille, aussi ma femme et nos enfants. Le Vampire qui me donna naissance trouva la mort également.

Je me joignis à la collectivité Vampirique sans prendre part à la guerre avec les Anges, ils étaient le dernier de mes soucis. Ainsi, j’errai de terre en terre, d’un endroit à un autre, sans jamais oublié mon passé, l’enviant même. Maintenant la vie ne me procure aucun plaisir, seulement un corps d’homme me permet de me sentir bien durant quelques heures.
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Ida de Barancy
Beauté Mortelle, héritière du trône
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MessageSujet: Re: Sir Lan De Varen   Sir Lan De Varen Icon_minitimeSam 23 Juin - 7:11

TE QUIERO !!!

p'tain j't'aime toi ^^

V-A-L-I-D-É !

Je vais te mettre ton groupe ^^
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MessageSujet: Re: Sir Lan De Varen   Sir Lan De Varen Icon_minitime

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