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 Carline Rivéroc

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2 participants
AuteurMessage
Carline Rivéroc
étudiante asociale
Carline Rivéroc


Féminin
Nombre de messages : 24
Age : 37
Localisation : devant mon ordinateur
Race : humain
Date d'inscription : 07/10/2007

Carline Rivéroc Empty
MessageSujet: Carline Rivéroc   Carline Rivéroc Icon_minitimeDim 7 Oct - 11:39

Ce modèle est valide uniquement si vous désirez jouer un humain.

Identité

Prénom et Nom
Rivéroc Carline (et non Caroline)
Surnoms
Car, pour mes parents et mes frères, l’intello, l’asociale pour d’autres
Date de naissance
11 décembre 1986
Sexe
féminin
Âge
20 ans, presque 21.


Physique

Description générale
Par où commencer ? Je suis petite, environ 1m50, mince. J’ai de longs cheveux châtains, ondulés, en règle générale attachés. J’ai les yeux verts, mais je porte toujours des lunettes, sauf pour les photos, il parait que ça fait des reflets. On me dit souvent que je devrais les enlever plus souvent, que sans je suis jolie et avec… Oublions le avec. Je suis généralement habillée discrètement, jean et chemisier blanc ou noir. Je suis loin d’être une fashion victime, j’aime juste être à l’aise dans mes vêtements. Donc, jean, chemisier, baskets. Une veste s’il fait froid, une parka s’il pleut. Je n’ai pas vraiment le super look de jeune fille branchée.
Sinon, j’ai été opérée de l’appendicite, mais le chirurgien s’est un peu planté, alors au lieu d’avoir juste une petite cicatrice d’un ou deux centimètres, j’ai une balafre de six centimètres de long sur un de large à l’aine droite. Mais bon, à cet endroit, il n’y a pas grand monde qui va la voir.
J’ai dit que je portais des lunettes. Eh oui, je suis myope comme une taupe. Et comme si ça ne suffisait pas, je suis aussi astigmate, donc pas de lentilles.

Taille
Je l'ai déjà dit, je mesure environ 1m50.
Corpulence
Je pèse 40kg.
Signe particulier
à part cette fameuse cicatrice, aucun.

Caractère

Description générale
Je suis assez renfermée, certains diront presque autiste. Très timide étant petite, je n’ai pas l’habitude de faire le premier pas vers les gens, bien que ce trait de caractère se soit estompé. Bien souvent, ce n’est pas que je ne veuille pas, c’est juste que je ne sais pas trop comment faire.
J’aime étudier, apprendre de nouvelles choses. Je suis très curieuse et très patiente. Une fois que je suis lancée dans une litanie de « pourquoi comment », impossible de m’arrêter. Le problème pour moi, c’est justement de commencer, parce que pour ça, il faut parler aux gens. C’est pour ça que j’aime autant internet. On ne voit pas son interlocuteur, donc c’est plus facile pour moi. Je passe ma vie scotchée à mon écran. Pas toujours pour parler. C’est fou le nombre d’informations intéressantes que l’on peut trouver sur la toile. Cette habitude ne fait rien pour me sociabiliser, mais passons.
Je ne m’emporte pas facilement, il est rare que j’élève la voix. Il est rare que je parle tout court, d’ailleurs. Si l'on passe outre le fait que je n'ai pas d'amis, je pense que si j'en avais, hypothèse hautement improbable, je serais fidèle en amitié et qu'on pourrait compter sur moi. Les petits copains, c'est pareil. Aucun, néant, zéro. Mais bon, je m'y suis habituée, je vis dans ma bulle. Je suis sûre que je pourrais me trouver plein de qualités si je rencontrais plus de gens. Je pense avoir le sens de l'humour, un peu trop porté sur l'auto dérision, parfois. Le respect, l'honneur, sont des valeurs en lesquelles je crois. Quoique, au vu de la société actuelle, je finis parfois par douter.
Je suis très méticuleuse sur certains points et totalement désorganisée sur d'autres. Si vous pouviez voir mon studio... Un vrai champ de bataille! Par contre, lorsqu'il s'agit d'une dissection, voire d'une autopsie, je suis très à cheval sur l'organisation. Les outils à dissection doivent être rangés, propres, sans nécéssairement être stériles, après tout, c'est un cadavre. La blouse, blanche mais pas par choix, marron serait mieux, doit être propre aussi et passer à la machine sitôt la dissection ou l'autopsie terminée. C'est une question de respect. Dans le cas de la dissection parce que la personne a fait don de son corps pour que je puisse apprendre, dans le cas de l'autopsie parce que c'est un travail sérieux que l'on attend du médecin légiste.
Sinon, je n’aime pas le sport, je préfère lire ou écrire. J’adore la science fiction, les auteurs comme Michael Moorcock, David Gemell, Lovecraft… J’en lis et j’en écris, ce qui fait que je passe encore plus de temps devant mon ordinateur, plongé dans mon monde imaginaire.
A part ça, en vrac, j’aime cuisiner, surtout le poisson, les pâtes et les desserts. Je n’aime pas le mensonge et l’hypocrisie, les choux de Bruxelles et la musique trop forte.



Tic
Je ronge mon stylo quand je réfléchis.

État

Statut social
Etudiante en médecine, donc pas très haut sur l’échelle sociale
Statut civil
célibataire

Passé

Sa vie
Je suis née à Rennes, la grande ville la plus proche du trou paumé où habitent mes parents. Je dis ça, mais j’adore le village où j’ai passé mon enfance. Mon père, Charles Rivéroc, était un industriel important, dans la filière porcine. Nous ne manquions donc de rien. Ma mère, fille de paysans, avait toujours été un peu rejetée par sa belle-famille et avait fini par couper les ponts avec la sienne, cela aura son importance plus tard. Complétons le tableau de famille par mes frères, Camille et Jordan. Je ne sais pas ce que mes parents ont contre les prénoms courants, mais franchement, ils ont exagéré. D’accord, Carline, c’est joli, mais j’en ai vite eu marre à chaque rentrée de m’entendre demander s’il y avait une faute de frappe à mon prénom. Non, il n’y en a pas, voyez avec mes parents.
Enfin, j’ai eu une enfance et une adolescence heureuses. Enfin, à la maison. A l’école, ce n’était pas pareil. J’étais timide, je portais des lunettes et j’aimais apprendre. Mes éternels « pourquoi » m’ont attiré la réprobation unanime de tous mes petits camarades, cancres dans l’âme comme tous les élèves normaux. Et comme en plus je restais dans mon coin aux récrés, suite aux recommandations de ma mère « fais attention, tu vas casser tes lunettes », j’ai bien vite été mise à l’écart. Ça ne me dérangeait pas plus que ça à l’époque, je trouvais toujours un sujet d’occupation à mes yeux bien plus important, du genre où vont les oiseaux migrateurs, ou que devient-on quand on meurt.

Et ça a été comme ça jusqu’au lycée. Toujours première de la classe, toujours habillée comme une petite fille bien sage par ma mère, toujours mise à l’écart. Je continuai de m’occuper autrement, totalement inconsciente que je creusais encore plus le fossé entre moi et les autres.
Un peu avant le bac, il s’est produit un événement qui a changé ma vie. Ça parait un peu grandiloquent dit comme ça, mais c’est la stricte vérité.

Ma mère a été appelée au chevet de son père mourant. J’avais dix-sept ans et je ne l’avais vu qu’une fois, douze ans auparavant, pour l’enterrement de ma grand-mère. J’étais curieuse de voir ce grand-père inconnu et j’ai insisté pour accompagner ma mère. Grand-père souffrait d’un cancer du poumon en phase terminale et quand je suis entrée dans la chambre d’hôpital, mon cœur s’est serré en voyant sa silhouette étendue sur le lit. Il a tourné la tête vers nous et un sourire a illuminé son visage. J’ai souris en réponse et il m’a fait signe d’approcher.
« Tu es Carline ? Tu lui ressembles tant. A ta grand-mère, à ma chère Marie. »
Puis il a ordonné d’une voix dure à ma mère de sortir de la pièce. Il m’a fait asseoir sur le lit à côté de lui.
« Sais-tu que ta mère n’est jamais venue nous voir depuis son mariage ? Elle avait honte, honte de ses parents paysans. »
Spontanément, j’ai pris sa main et j’ai affirmé que moi je n’avais pas honte, que si j’avais su, je serais venue bien plus tôt. Je l’ai appelé Grand-père, je ne pouvais pas l’appeler Pépé ou Papy, j’éprouvais à cet instant trop de respect pour ce vieil homme au seuil de la mort.
« Je vais bientôt mourir, Carline. Merci d’être venue, même si tard, même juste une heure. »
Je savais qu’il disait vrai, je n’ai pas démenti. J’ai juste serré sa main dans la mienne, luttant contre mes larmes. Il m’a demandé de parler de moi, de ma vie au lycée, de ce que je voulais faire plus tard. Je ne lui ai pas parlé de ma mise à l’écart, mais il l’a deviné.
« Carline, la vie ne se traverse pas seul, elle se partage. Ouvre-toi aux autres, même si ça fait mal, il y a toujours de bons moments et ce sont les seuls que l’on retient. »
Il est le premier à qui j’ai fait part de mon souhait de devenir médecin légiste, il m’a encouragé à choisir ma voie. Il m’a raconté sa vie, sa jeunesse, sa Marie, ma grand-mère que je n’ai pas connue, à qui je ressemble beaucoup, son mariage, l’enfance de maman et puis aussi sa solitude ces dernières années, oublié par sa fille, pleurant la mort de son épouse adorée. Ses paroles se sont gravées dans mon cœur, je l’ai peu côtoyé, mais je l’ai aimé et respecté comme si je l’avais toujours connu, comme le grand-père que la honte de ma mère m’a empêchée d’avoir. Et il m’a fait un cadeau, un dernier cadeau. Après sa mort.

Lorsque j’ai appris la nouvelle, j’ai fondu en larmes sous le regard réprobateur de mes parents. Ceux-ci ont été étonnés lorsque j’ai été convoquée chez le notaire en même temps qu’eux pour l’ouverture du testament. Je n’étais pas majeure, je ne pouvais pas hériter, du moins en théorie. Il y avait deux enveloppes. L’une contenait le testament proprement dit, par lequel il léguait ses économies et sa maison à ma mère à la condition expresse qu’elle me laisse choisir ma voie. La seconde enveloppe m’était destinée. Elle contenait une feuille volante, avec quelques lignes tracées d’une main tremblante.
« Chère Carline, ma petite-fille que j’ai trop peu connue, je te laisse ceci en souvenir de moi, ne m’oublie pas trop vite. Merci d’avoir éclairé de ta présence mes derniers jours, je veillerai sur toi depuis le ciel, avec ma chère Marie, que je vais bientôt rejoindre. Je t’embrasse. Grand-père. »
Avec se trouvait un collier, que je porte encore aujourd’hui, tous les jours, en pensant à eux.
Après ça, mes parents m’ont demandé ce que je comptais faire après le bac. Je ne leur avais encore rien dit, à raison. Quand mon père apprit que je voulais être médecin légiste, il se mit en colère. Ce n’est pas, à ses yeux, un métier honorable et correct pour sa fille. Mais rien n’y a fait, je n’ai pas démordu de mon idée. Alors il s’est désintéressé de la question. Ma mère a soupiré, elle a dit, d’accord. Cependant, je ne voulais pas rester à Rennes, je voulais monter à Paris, loin de mes parents, loin de mes anciens camarades. Une fois encore, mes parents ont fini par céder. Mon père pour ne plus voir sa fille qu’il estime avoir démériter du nom de Rivéroc, ma mère pour avoir la paix dans sa maison.

Cela fait donc trois ans que je suis à Paris, à la faculté de Médecine Pierre et Marie Curie, près du Jardin des Plantes, j’entame ma quatrième année. J’ai déjà fait un stage auprès d’un médecin légiste et j’ai vu des cadavres étranges, hybrides, bien sûr, tout le monde en parle, mais aussi victimes de cannibales, de tueurs en série. Le métier m’a bien plu, l’odeur un peu moins.

Famille

Parents ou tuteurs
Des parents qui habitent en Bretagne, je ne les vois que rarement, ils me paient le loyer et la nourriture, c’est déjà bien. Sinon, pas de nouvelles.
Frères et soeurs
J’ai deux frères plus jeunes, que je vois aussi souvent que mes parents. Parfois quelques nouvelles sur msn, mais c’est tout.
Autres fréquentations importantes
euh… mon ordinateur ?

Autres

Ses rêves et ambitions pour l'avenir
Je veux devenir médecin légiste et écrivain. Enfin, surtout écrivain, mais je sais que c’est une utopie, alors pourquoi pas médecin légiste ?
Possessions particulières
A part mon ordinateur portable que je trimballe partout, je possède un collier, cadeau de mon grand-père sur son lit de mort. Une simple ficelle noire, une jolie pierre rouge translucide entourée d’un fil d’argent, qui a appartenu à ma grand-mère.

Vous

Votre nom ou surnom
Cardalba
Votre âge
20 ans, 21 à la fin du mois
Comment avez-vous connu le forum ?
Par Maybeth sur Sadismus Jail
Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ?
Natalie Portman, Padmé dans Star Wars épisodes 1 à 3
Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ?
Non, Carline ne voit jamais sa famille et n'a pas d'amis.
Avez-vous hâte que je vous valide ?
OUI OUI OUI 2019
La fiche est-elle trop longue ?
Non, le nécessaire
Avez-vous une critique à formuler sur le forum ?
euh, non
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Souny

Souny


Nombre de messages : 480
Race : Hybride
Date d'inscription : 27/07/2007

Carline Rivéroc Empty
MessageSujet: Re: Carline Rivéroc   Carline Rivéroc Icon_minitimeLun 8 Oct - 13:19

Ouais ^^ un novueau membre.

Tu es validée très chère ^^

Bon jeu.
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Carline Rivéroc
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